DIVERS - Fan fiction
Le chaos de la galaxie
A la suite de la victoire des Humains et des Elites sur le covenants et le Floods, les gagnants de cette guerre découvrent chaque jour un peu plus la technologie et le savoir Forerunner.
Nous sommes en 2558.
Épisode 1 : Une nouvelle ère (part1)
Wayne frotta ses yeux à l'aide de ses mains. 72 heures qu'il n'avait pas dormi et pourtant, dieu c'est ce qu'il voulait traduire les murs d'un temple installer sur l'halo N°7.
Wayne baya.
Il laissa son esprit vagabonder quelques secondes, repensant à son passé, il y a 33 ans, lors du 1er contact avec les covenants sur Harvest. Il avait abandonné sa grande-mêre et sa sœur et de se qu'il savait, elles s'en étaient pas sortit, il aurait du les sauver comme il a sauvé bien des mondes pendant la guerre contre les covenants. Bien des gens avaient la vie sauve, aujourd'hui en 2558.
Il passa sa main sur son visage et le frotta. Ses traits étaient plus marqué qu'à ses 17 ans. Aujourd'hui Wayne avait 50 ans et après tout ce temps, il avait gardé un contact éloigné avec Buck. Un TCAO qu'il avait rencontré sur Harvest, le marine avait pris sa retraite en 2553, à la fin de la guerre. Wayne était resté au service du CSNU et de l'ONI.
Il avait étudié avec bien d'autre scientifique les vestiges Forerunners sur Terre pris sur d'autre planète.
Grâce à l'installation 05 sous contrôle des Elites, la base de donné avait donné les coordonnées des autres Halo-monde.
Wayne fut dépêché sur la plus énigmatique, elle ne possédait visiblement pas de « flood » et était la plus grande installation.
En orbite autour d'un système ne possédant qu'un nuage d'astéroïde, cet installation était difficile d'accès. Était-ce fait exprès ? Ou cela n'avait pas été fait délibérément ?
L'équipe de chercheur était composé de 15 Sangheilis et 8 Humains. En effectif réduit, les humains chercheur n'avaient pas de réel garde du corps comme les Elites. Les militaires humains étaient dirigé par le colonel Old ou pour lui, tout cela n'était qu'une gigantesque perte de temps.
Wayne avait fini de traduire quasiment toute les inscriptions du petit temple ou il se trouvait. Chaque mot et chaque phrase était comme un doux poème qu'un Romèo chuchoterait à l'oreille de sa Juliette...Dumoins pour Wayne qui était subjugué d'amour pour ce lieu. La seule différence avec un poème était que ces inscriptions parlaient de morts et d'espoir dans un crépuscule de sang et de douleur.
Wayne ferma les yeux. S'autorisant quelques secondes pour dormir debout. Il chancela au moment de s'endormir se qui le réveilla. Le colonel Old se présenta devant lui.
Il était plutôt jeune pour un colonel, mais il avait mérité ce grade au cour des nombreuses batailles passé dont celle de la Terre ou il a, avec son équipe libéré à eux tout seul une grande mégalopole stratégique.
- Alors, Docteur ? Des choses intéressante pour que vous vous endormiez dessus ?
Wayne regarda le militaire. Il avait un air idiot qu'il adorait prendre, se montrant moins intelligent que ce qu'il était pour ne pas être dérangé.
- Non, colonel. C'est excessivement intéressant, dit Wayne en se tournant vers le mur. Ça raconte une partie de l'histoire des Forerunners, avant qu'ils ne se sacrifient pour arrêter le flood. Il s'agirait d'une arme qu'ils ont expérimenté ici...sur cette anneau-monde. Mais le temple est vieux et de ce qu'on sait, seul les halos ont marchés contre le parasite, on peut donc penser que cette option a été un échec sévère pour les Forerunners qui les a affaiblit plus que ce qui les a sortit du pétrin. C'était le derniére espoir avant d'activer les halos, quand ils ont vu que c'était inefficace, ils ont activé leur arme.
Wayne se retourna à nouveau vers Old mais celui ci avait disparu et s'était éclipsé pendant le bref résumé de Wayne.
Le scientifique chercha partout autour de lui, personne. Il haussa les épaules et après un bâillement se remis au travail. Ce n'ai que 5 minutes plus tard que ça radio grésilla, il put entendre la voix du colonel, toujours calme lui annoncer qu'il devait le rejoindre au plus vite.
- Ou vous êtes ?
- Sortez du bâtiment et allez vers la droite.
Wayne souffla, à droite du temple, il n'y avait rien. Qu'une mer tempéré entre 28 et 30°C ou le colonel aimait se baigner chaque matin pour passer le temps.
Néanmoins, Wayne lâcha son travail, sortit du bâtiment et fit une dizaine de pas sur la droite. Il arriva en bordure d'un petit précipice, en dessous de lui, à une dizaine de mètre, une plage immense faites d'un sable fin et chaud excessivement agréable.
[générique]
Les nuits de sommeil raté de Wayne s'évaporèrent comme si le chaud soleil les avaient fait fondre. Il était en pleine forme, repartis pour des dizaines d'heure de recherche grâce à son excitation. Il n'y avait plus de mer, plus d'eau. A la place, un large tunnel c'était ouvert se dirigeant sous la surface de l'halo.
Wayne emprunta un plan incliné au pas de course et se figea sur le sable meuble au coté du colonel.
- Vous avez vu ce qu'ils m'ont fait à ma belle mer ?
Wayne ne l'écouta pas. Il était dans son « monde », dans ses pensés. Il se retourna vers Old brusquement.
- Ou est Putninsky ?
Le colonel Old ne dit rien, il leva son bras et avec son pouce indiqua son dos.
Wayne se décala de quelques centimètres pour mieux voir. Putninsky, un assistant, un associé avait trouvé une salle secrète dans la paroi de la falaise. Les commendes permettant de retirer l'eau et d'ouvrir le passage devait être à l'interrieur.
- Et doc', fit Old d'un ton amusé. Vous auriez du me voir, j'ai été Moise !...
Il marqua un temps d'arrêt, regardant Wayne pénétrer dans la falaise, il le suivit doucement en agitant les bras.
- C'est bien Moise qui a ouvert la mer en 2 au moins ?! Hein !
Très rapidement, un Warthog avait rejoint la zone. Un Warthog comme Old ne les aimés pas. Sans mitraillette à l'arrière, sans canon gauss. Non, des places assises.
Les Elites arrivèrent à leur tour. Les chercheurs n'avaient pas d'armure, ils avaient seulement une tenue moulante noir sur eux avec des bandes de couleur aux articulations pour rappeler leur grade dans la société des chercheurs.
Ainsi, un Spectre arriva, véhicule semblable aux warthogs pour les Sangheilis.
Old grogna en voyant leur tourelle déjà entre les mains du seul guerrier Elite qui les escortés.
Wayne sauta en place de pilote du Warthog, Putninsky allait se placer en passager mais Old l'attrapa par le col et le tira hors du véhicule pour prendre sa place. Il le regarda ensuite avec un sourire faux, lui indiquant les sièges inconfortables à l'arrière. Putninsky pausa son gros sac et s'assit sans la moindre envie.
Le Warthog démarra doucement comme l'homologue Elite et les deux véhicules accélérèrent en entrant dans le tunnel non éclairé et humide.
Les roues du Warthog glissaient sur les flaques d'eau, aspergent les murs noir. Après quelques secondes à peine de course dans le large tunnel, Wayne s'arrêta.
Deux passages s'ouvraient à eux, ces derniers étaient éclairé mais légérement plus étroit.
- On se sépare ? Demanda un Elite chercheur en place passagé de son spectre.
Wayne fut pris d'une rapide douleur à la tête. Intense mais brève, comme un courant électrique le traversant. Tellement bref qu'il se demandait lui même si il n'avait pas rêvé ou si ce n'était pas le manque de sommeil qui jouait en sa défaveur.
Mais pas cette fois. Ce n'était pas la première fois que cela lui était arrivé. En même temps que cette douleur brève, il avait des visions, des intuitions, c'était impossible à expliquer. Tout cela était arrivé il y a quelques années en 2552 quand il avait eu une altercation avec un « ingénieur » covenant qui lui avait transmis un don, il arrivait a voir les installations Forerunners, leur direction mais pas leur but et leur fonction. Wayne hocha la tête sur le coté.
- On va à droite. Tous...
Il savait qu'il y avait quelque chose à droite, mais il ne pouvait le déterminer.
Le Warthog redémarra s'enfonçant dans le tunnel de droite, le véhicule covenant le suivit sans plus attendre.
La route sombre à peine éclairé étaient sinueuse et s'enfonçaient de plus en plus sous le sol.
Après plus de 10 minutes de Zig Zag, ils arrivèrent dans un cul-de-sac. Wayne arrêta le Warthog et montra du doigt une ombre dans la paroi sombre.
- C'est une porte.
Il descendit du véhicule tout terrain, fut suivi par Putninsky et les Elites. Old ferma la marche en bougonnant, il n'avait visiblement pas envie de marcher.
Ils se rapprochèrent de cette ombre et virent qu'il s'agissait effectivement d'une porte qui s'ouvrit en santant la présence et le gène humain. Une lumière inonda leur Yeux qui se firent rapidement à cette source lumineuse. Ils passèrent la porte qui se referma derrière eux.
- Ben, vous voyez. J'aime moyen, annonça Old en regardant la porte se refermer.
Ils avancèrent encore et toujours dans des couloirs plus ou moins sinueux, jusqu'à arriver dans un dôme ou la température clémente avait été troqué par un froid intense.
Sous la présence humaine, une console de commende holographique s'alluma au centre de la pièce.
Curieux, Wayne fut le seul à s'avancer, regardant le dôme et l'étrange alliage translucide donnant sur de la glace, en grande quantité.
L'ordinateur Forerunner reconnu le gène humain et déclencha un écran holographique. Les inscriptions verdâtre sur un fond blanc était les dernières enregistrement sur le sujet d'exploitation P-90.
Wayne pianota sur les touches pendant que le reste de ses ailiers se détendirent légérement. Ils furent tous coupé par un « ho-ho » de Wayne.
- Quoi Docteur ? Demanda Old en se rapprochant.
Wayne se frotta les yeux et fit une légère grimace.
- Je ne connais pas ce mot, répondit-il.
- Ohw.
Old regarda l'écran, remplis pour lui de dizaine de signe incompréhensible, ils se ressemblaient tous pour lui.
- C'est pas ce qui va m'empêcher de dormir ce soir...
Wayne soupira.
- C'est un journal de bord des scientifiques Forerunners. Ils ont marqué toute leur recherche sur le sujet d'exploitation P-90 ou prototype 90 pour luter contre le parasite mais ça n'a pas marché parce que...
Wayne s'arrêta et baissa la tête.
- Vous manque le mot ! Fit Old d'un ton amusé. C'est dommage, ça n'a pas marché et bien c'est pas grave. Tant que le parasite et cloitré on aura pas de problème.
Un groupe de lettre clignota à l'écran, Wayne avait la possibilité de relancer les recherches, sans y réfléchir, il accepta.
La zone de glace se réchauffa sans plus tardé, montrant à travers la baie un environnement verdoyant. Tout cela semblait irréel, portant tout était là.
En bordure de la paroi. Un objet gris claire et rond se redressa sur 6 pattes métalliques. La créatures se tourna face aux humains montrant une fine luciole bleuté représentant un œil et deux petites pinces en dessous.
- Les Forerunners fabriquaient des araignées robot ? Fit Old. Ils devaient avoir une vie passionnante.
Le militaire avait raison, il s'agissait bien d'une araignée d'environ 50 centimètres de diamètre munit de patte bionique lui permettant d'avancer. Une autre créature arriva, se pausant à proximité de la première immobile, elles semblaient observer les explorateurs.
L'autre créature étaient munit d'aile métallique très fine lui permettant de voler et disposait également de 6 pattes robotisé plus courte que celle de l'araignée.
- Ho ok. Fit Old, en fait les Forerunners ont décidé de repeupler les mondes ayant perdu la vie avec ses choses immondes... Vous croyez qu'ils ont bon goût ?
Personne ne lui répondit. Ils fixaient tous les créatures, même Old semblait plus ou moins interressé. La créature robotisé semblable à un insecte s'envola, partit rapidement hors de porté de la vitre.
- Il y a 5 espèces, déclara Wayne en jouant avec l'ordinateur. Il y a présent dans ce...terrain, un spécimen de chaque espèce...
Il voulu ajouter quelque chose mais la créature ailé revint et se cogna brutalement à la paroi translucide la fendillant. Il recommença sous les yeux ébahie des humains et Sangheilis.
- Ils éprouvent le besoin de liberté, constata Wayne.
- Oué ! Y en a un qui veut voler de ses propres ailes, ricana Old.
La créature redonna un nouveau coup ce qui fendilla un peu plus la grande baie vitré. Old agrippa un magnum à sa ceinture mais ne le déguéna pas immédiatement, attendant de voir les monstres réagir.
- Je vous ai dis que j'aimais pas cette endroit ?
La créature ailé très familièrement semblable à une grosse guêpe de 70 centimètres de long sur 60 de large avec les ailes déplié se cogna une 6eme fois à l'épais alliage translucide qui explosa en divers morceau qui tombèrent au sol sans un bruit.
La créature guêpe, elle, avait été réduit en millier de petit morceau de métal cubique. Il semblait s'être détruit en voulant d'échappé, le verre Forerunner trop résistant.
L'araignée restait immobile jusqu'alors sauta hors de la sa « prison » de verre et souleva une partie de son dos pour se montrer plus imposante.
Le Sangheili militaire déguéna un fusil à plasma et tira une demi douzaine de faisceau à énergie bleu sur le monstre qui sembla l'absorber. L'élite ouvrit de grand yeux ronds surpris de impuissance de son arme.
Old ne perdit pas plus de temps, déguéna son révolver et tira sans quasiment viser.
Une des pattes avant de la créature explosa sous l'impact d'une balle, une suivante le toucha sur le dos et une troisième mieux ajusté le percuta de face le faisant exploser à son tour en millier de particule métallique.
- Je crois que leur projet P-90 et un échec au niveau du comportement de ses doides hautement perfectionné fit Old.
Wayne regarda Old, surpris des mots qu'il venait d'employer.
- Ben quoi ? Rétorqua t-il avec son air idiot. J'adore Star Wars et les robots.
Wayne leva les yeux aux ciels alors que le Sangheili tira à nouveau sur un nouveau monstre métallique ayant exactement la forme d'un scorpion mais de même envergure que la créature robotisé volante. Old tira en tout 10 balles pour mettre à bas son ennemi. Il retira le chargeur qui contenait encore 2 balles et en plaça un nouveau, plein.
- Vous avez dit 5 monstres ?
- Affirmatif, répondit Wayne.
Old se tourna vers Putninsky, il prit un air désœuvré.
- Dans votre sac. Y a du C12 ?
Le scientifique ouvrit deux grands yeux ronds et serra son sac à dos volumineux sur sa poitrine.
- Non !
Le regard de Old se perdit dans les méandres du méprit qui marquait son visage.
- T'es nul.
Old fit face à la baie et pointa son arme.
- ça serait une bonne idée de filler !
- Désolé colonel, répliqua Wayne. Il faut détruire ses monstres, on ne sait pas se qu'ils peuvent faire une fois libéré.
- Oué? Ben ils ont l'air de plus en plus coriace et mes 15 dernières balles risque de ne pas sufir.
- C'est une remarque tout à fait intéressante, humain. De plus, mon arme est inefficace.
Le sangheili lâcha son fusil à plasma et sortit une épée à énergie qu'il activa dans un geste brusque.
Une nouvelle créature robotisé montra le bout de son nez. Longue de 60 centimètres, épaisse de 30. On pouvait facilement la comparait à un scarabée ayant une cuirasse extrêmement solide et peut-être impénétrable.
Elle quitta la baie alors que la dernière créature se présenta en même temps. Elle, était différente des autres. Cette dernière ne ressemblait en rien à un insecte connu sur Terre ou l'une de ces colonies. Elle était beaucoup plus grande, 2 mètres de hauteur pour un corps large d'1m50 environ.
Après mur réflexion, cette 5eme espèce robotisé ressemblait à une menthe religieuse difforme, du moins c'est ce que Old fit remarquer. Mais cette menthe religieuse possédait le long de ses pattes avant, d'immense lame excessivement tranchante.
Les explorateurs s'occupèrent avant tout du scarabée qui se mit à la surprise de tous à cracher des aiguilles métalliques de 10 centimètres de long. Elle quittait son abdomen par 3.
Un des scientifiques Sangheili fut la cible. Il se prit les 3 première de plein foué, ce qui le tua sous le coup.
Mais la solution pour le battre était là, le blindage ventrale était moins épais et pour attaquer, la créature se redressait 2 secondes, c'était court mais c'était leur seul chance.
L'élite guerrier remarqua que le monstre allait se redressait quand elle se contorsionna comme précédemment, il se jeta sur elle et la traversa de sa lame à plasma. Le robot explosa sur le coup au milieu de ses cubes métalliques appartenant au autres robot.
Mais rien n'était fini. Une masse quasiment aussi grande que le Sangheili se dressa devant lui.
La seconde d'après, l'élite était projeté contre un mur avec un trou ensanglanté au niveau du ventre. Il poussa un dernier soupir en relâchant légérement la lame qu'il serrait fermement. Old grimaça, pour ce monstre, l'épée serait plus utile.
Il prit une grande bouffé d'air, envoya son arme à Wayne à coté de lui qui la réceptionna adroitement avant de tirer, sans effet sur la créature.
Old se saisie de la lame et recouru vers son ennemi, sauta sur son dos alors que cette étrange invention se débattait.
Old prit son courage à deux mains, il enfonça sa lame dans le métal du monstre mais une certaine résistance se faisait sentir. La créature se dissous finalement au bout de quelques secondes.
Old qui avait chuté au sol se redressa, épée en main.
- Bon, la visite est terminé. On retourne à la surface et on condamne tous cela que ça vous plaise ou non.
Wayne grimaça, mais acquiesça, Old avait raison, même si l'endroit était extrêmement intéressant à étudier.
Episode 2 : Une nouvelle ère (Part2)
De puis les dernières mésaventure, 3 semaines s'étaient écoulé. Mais le travail de Wayne n'avait pas avançait. Il se trouvait toujours dans ce genre de temple prêt de la falaise, il avait légèrement avancé la traduction mais les mots étaient grotesque, il n'y avait pas de traduction connu, ou du moins Wayne ne les connaissait pas.
Le soleil tombait alors que Wayne venait de sortir d'une sieste de quelques heures.
Old entra dans la pièce, resta planté l'air pensif en regardant Wayne.
Il finit par dire après 40 secondes immobile.
- On repart demain soir. Vous êtes au courant ? L'ONI à d'autre objectif pour vous...moi par contre ils s'en foutent.
Wayne dans un élan de colère frappa le mur du poing.
- Je ne comprends rien à ce TEXTE !
- Oh ! Fit Old d'un air stupide et surpris. Vous ? Vous ne comprenez pas ?
- Il est question de...Je ne sais pas, on dirait que l'écriture est plus récente de ce coté du mur. Ça parle de survivant Forerunner et de divinité par Mirdine, mais le dieu Horus est évoqué, ainsi que le mot « Makos » à plusieurs reprise, tout ça pour contrer un certain féta Morna...
- Wayne ? J'ai mal à la tête maintenant.
- Moi aussi, soupira le scientifique. Si au moins on avait la localisation de la planète « Tâ », ou alors plus d'information sur féta Morna...
Les heures avaient passé, Wayne avait planché tout le temps qu'il pouvait eu, il était arrivé à une traduction. Fier de lui, il sortit de la bâtisse en trombe et tomba sur Old qui avait un grand sourire.
- Doc', je venais vous chercher. On rentre sur Terre.
- J'ai trouvé ! J'ai traduis ! J'ai tout compris !
Old fronça les sourcils, sentant que les prochaines minutes allaient être très longue.
- Le mot dans le sous-terrain, c'était « manipulé » ou « trafiqué ». Le texte de la pièce explique que les Destructeurs ont été réveillé il y a quelques siècles mais par quelqu'un, féta Morna ou Morna, ou Féta...Quand ce Forerunner sait rendu compte qu'il avait fait une erreur, il a fuit sur « Tâ », sur la Terre ! Mais un autre Forerunner est intervenu pour stopper le fléau des monstres. La clef se trouvait sur Terre, une arme capable de contrôler les Destructeurs et Morna la cherchait aussi. Sur Terre, c'était une période assez noire. Mirdine, le gentil Forerunner à eu besoin d'humain pour retrouver la clef, et pour ne pas influencer leur développement il a utilisé le mythe religieux.
- Ok, ok ! Intervint Old. Très bien. On va être en retard.
- Colonel ! Vous ne comprenez pas. Le mythe existe toujours sur Terre. C'est devenu une légende. Colonel, l'humanité connait Mirdine sous le nom de Merlin, féta Morna pour fée Morgane.
Old ouvrit de grand yeux ronds et ses lèvres formèrent un cercle. Il semblait surpris. Mais rapidement ses sourcils se froncèrent.
- On va rentré sur Terre. Ok ? Dit-il calmement en semblant réfléchir au dernier mot de Wayne.
- Colonel. Je n'ai pas fini. Il y a sur cette halo-monde 50 caches comme on en a trouvé. Elles sont relié 2 par 2.
- Hé bien ?
On a détruit les créatures de la 1ere mais la seconde cache a été ouverte et les Destructeur on eu le temps de s'enfuir...
Old prit une grande inspiration en grimaçant.
- Elles se seraient déjà montré.
- Pas forcément. Elles ont le but de détruire les Floods. Elles doivent se répliquer pour arriver à nombre suffisant. Ce multiplier en mangeant le métal, elles créaient de nouvelle pièce à assembler. Il doit y avoir plus de 500 créatures robotisé à présent et le nombre doit encore augmenter.
- Quoi !?
- Je suis désolé Colonel. On a un nouvel ennemi sur les bras et c'est ma faute.
Old resta statique, à penser, les yeux dans le vague.
- Colonel ! Ces destructeurs on un seul but quitter l'anneau et le croiseur covenant est leur seul moyen. Ils savent ou est la seule chose qui peut les contrer. Sur Terre, c'est là qu'ils vont se rendre.
Old grimaça en restant ainsi statique.
- Colonel, on doit trouvé le Makos. Le graal !
Old et Wayne couraient le long de la plage. Old était sur sa radio et tentait de joindre les élites dans leur vaisseau, mais ils avaient remarqué longtemps à l'avance que les communications étaient extrêmement limité sur cet halo.
Old abandonna l'idée de joindre ses alliers en poussant un juron et accéléra se course jusqu'à un Warthog de transport ou Putninsky était déjà en place passagè. Le colonel Old Grimpa en pilote alors que Wayne se jeta à l'arrière.
- Hé bien. C'est pas trop tôt, bougonna Putninsky.
Old accéléra, clouant ses passagers à leur siège. Le sable avait pour habitude de faire déraper le Warthog et principalement ici, de plus, la vitesse accru n'arrangeait rien.
Le véhicule tout terrain manqua de faire une embardé lord d'un dérapage plus ou moins contrôlé.
Old conduit le véhicule sur une vieille route abimé mais ou la conduite était plus stable.
Il fit gravir une colline à son véhicule avant de la redescendre de l'autre coté.
C'était un paysage merveilleux, une poignée de nuage orangé à cause du couché de soleil avec en premier plan un croiseur covenant. A bord, un nombre de passager Sangheili extrêmement réduit.
Tout en conduisant, Old déclencha sa radio.
- Old à Vaisseau. Vous me recevez ?
Après un bref grésillement, le colonel fut satisfé d'entendre la voix roque du pilote Elite.
- Capitaine ! Il est possible que le vaisseau soit pris pour cible par des créatures robotisé. Faites gaffe. On arrive !
- Bien reçu colonel.
Alors que la liaison radio coupa et que 700 mètres les séparés du rayon tracteur violé qui les conduirait à bord, Old freina brusquement. Un trou s'était formé dans le sol. Il était de petite taille mais des Destructeurs en forme d'araignée en sortaient. Old fit un air méchant et accéléra, une des roues percuta une araignée qui explosa mais une seconde se pausa sur le carpeau du warthog et se montra menaçante.
Old donna un grand coup de volant et la Warthog se figea de manière parallèle à l'ascensseur gravitationnel.
Les 3 hommes descendirent en trombe, suivit de centaine de créature. Ils se jetèrent dans le flux et furent immédiatement élevé à bord du croiseur covenant.
Le gigantesque appareil pivota et quitta son stationnement pour rejoindre l'espace.
Wayne regarda la salle de réception. Les murs étaient troué comme s'il ne s'agissait que de fromage.
- Vous avez des robots à bord. Déclara Old dans sa radio.
- Comment ça ? Répondit la voix roque. Nos détecteurs ne voit rien.
- Alors ils sont invisible aux radars, murmura Wayne.
L'équipe rejoignit le poste de pilotage et ils virent par les moniteurs que le vaisseau avait déjà passé en sous-espace en direction de « Hotawa », une colonie mi-humaine, mi-Sanghaili.
- Sortez du sous-espace ! Vite ! Clama Wayne en entrant dans la salle de contrôle.
- Pourquoi dont ? Demanda le capitaine.
- Nous avons des créatures sur-puissantes à bord. Arrivé sur « Hotawa » elles sortiront, tueront et voleront les vaisseaux pour détruire la galaxie. Sortez du sous-espace !
Le capitaine Elite acquiesça et indiqua à son subordonné en place de pilote de s'exécuter, l'Elite tapota quelques touches et le vaisseau sortie du sous-espace.
- Enclenchez le système d'autodestruction, ordonna Wayne. Ces monstres peuvent-être pire que le Floods...
Old et Wayne marchaient tous d'eux à pas lent et attentif dans les couloirs violacé du vaisseau Sangheili. Il y avait 5 groupes de 2 personnes en chasse des créatures robotisé invisible au radar. Tout le monde avait été munit d'arme humaine car plus efficace. Les 10 soldats dont 2 humains, dont 1 scientifique avançait prudemment, à l'affut de tout son.
Old leva soudainement le poing, faisant signe à Wayne de s'arretter. Un bruit sourd résonnait dans le couloir. Wayne plaqua son oreille contre le métal aussi violé que froid.
- Ils sont dans les murs, affirma t-il.
Soudainement le vaisseau eu une petite secousse. Cela était soit une attaque soit une entrée en sous-espace. Étant donné que aucune autre secousse ne survint, il s'agissait d'un saut en subspace.
- Capitaine. Fit Old dans sa radio...Vous n'écoutez rien ? ou vous ne comprenez rien ?
Un silence se fut, il sembla une éternité, puis la voix roque reprit.
- Ce n'est pas moi, colonel. Le vaisseau est parti tout seul, l'auto-destruction c'est stoppé net...
Old soupira.
- On va ou ?
- J'en sais rien, mais pas sur Hotawa et les ordinateurs se bloque les uns après les autres, la liaison COM interne du vaisseau à laché.
- Hé bien, Heureusement qu'on a la technologie humaine, dit fermement Old.
- Colonel ! Clama Wayne. Ce n'est pas le moment de plésenter. Les Monstres ont prit le contrôle du vaisseau et vont sur une planète, si on y arrive. Ce sera la fin...
Le vaisseau voguait calmement dans le sous-espace, il ne semblait pas y avoir une menace à l'interrieur et pourtant, 3 heures après l'entrée en subspace, 4 élites étaient mort égorgé et 2 scientifiques étaient porté disparu, surement mort également. Seul la technologie humaine parvenait à fonctionner et les élites n'aimaient pas se sentir impuissant et de devoir requiert l'aide humaine pour survivre.
Beaucoup de capitaine Elite préférerait faire cavalier seul et se fier à leur technologie plutôt que se rabaisser à celle des humaines, mais cette fierté ne touchait pas Thel Vadamee, l'Arbiter, le chef suprême des Sangheilis, il aimait les humains et lorsqu'un Sangheili avait tué un humain sur Hotawa, il avait fait exécuter son frère de race. Beaucoup de son espèce disait de l'Arbiter qu'il était devenu faible avec le temps et était manipulé par les humains. La réalité était tout autre. Il savait que son peuple avait fait souffrir les humains et pour montrer leur alliance, Thel se montrait impitoyable sur certain point, même trop. Il cherchait à faire excuser son peuple.
A cause de ces dernières réaction beaucoup d'Elite se sont rebellé et ont tenté des coups d'Etat, mais en vain.
Sur le vaisseau, le capitaine était un « Vadamiste » et s'armait de MA5C ne le gêna pas particulièrement, mais les scientifiques se sentant bien supérieur intellectuellement voyait ça comme un affront. Pour Old, voir les élite avec une arme humaine entre les mains était surprenant et l'arme semblait disproportionné mais les mains Sangheilis n'étaient surtout pas adapté.
Old se tenait en salle de contrôle avec tous les autres survivants du vaisseau. Le colonel s'amusait à taper de ses doigts son arme pour donner des clapotis ritmé qui lui permettait de décompresser légérement mais qui agacé les autres.
Il frappa son arme du plat de sa main et se tourna vers Putninsky.
- Avec votre tablette portable, dit-il. Pénétrez le système du vaisseau.
Le scientifique ouvrit de grands yeux ronds.
- Je ne sais pas faire ça.
- Moi si, fit Wayne en avançant d'un pas vers Old. Je pense même pouvoir créer un par-feu capable d'empêcher la vermine de pénétrer l'ordinateur.
Old inclina la tête pour autorisé Wayne à exécuter son plan. Le militaire avait un regard qui malgré les apparences trahissait la peur.
Wayne se mit au travail instantanément, créa un par-feu de fortune en un temps record qui n'avait que le but de retarder les destructeurs. Puis il se brancha sur le réseau du vaisseau.
Son écran s'inonda de chiffre et de symbole, il restait à décoder les données. Mais le capitaine Elite et ses Sangheilis mirent la main à la patte et en moins de 5 minutes, les chiffres et symbole avait muté en donné divers écrite en Elite. Pourtant, beaucoup de chose semblait être encore codé par des formes géométrique simple et grotesque. Des informations transmise par les Destructeurs.
Wayne ne s'attarda pas sur ses dernières donnés qu'il métrait un temps fou à déchiffrer. Wayne se concentra donc sur leur destination. Une planète Elite en bordure de leur territoire Spatial, la plus proche de l'installation 07.
Wayne déclara que leur arrivé était prévu dans un peu plus de 10 minutes, il envoya ensuite un message sub-spatial pour prévenir la flotte local de détruire le vaisseau.
Alors que Wayne chercha de plus d'information sur leur ennemi, son écran afficha de plus en plus d'information codé appartenant aux alliens métallique jusqu'à que son matériel se bloque totalement comme les commendes du vaisseau. Wayne débrancha son matériel des consoles aliens, regarda sa montre et dit l'aire amusé.
- Il nous reste 7 minutes. Qu'est ce qu'on fait ?
- On va mourir sous le feu nourris de 18 croiseurs, annonça le capitaine. Nous ne devrions pas souffrir.
- Mauvais plan, rétorqua Old en grimaçant. Une autre idée ?
- On peut toujours se réfugier dans un phantom et sortir au moment du retour en espace conventionnel, proposa Wayne.
- C'est risqué...mais seul solution de survie.
Old se tourna vers le Capitaine.
- Voyez. Ça c'est un bon plan...
L'équipage ramassa leur affaire et rejoignirent un Phantom alors que 2 minute restaient avant la sortie en sous-espace, un des Sangheilis se mit au pilotage et ouvrit les portes des hangars, laissant les bouclier les protéger. Il se mit en position pour quitter l'appareil géant.
Les 10 première secondes furent les plus longue.
A 1 seconde, le phantom accéléra et sortie du hangar juste au moment de la sortie du sous-espace.
Des tirs précis provenant de différent vaisseau posté détruisit celui infecté.
- Alors capitaine, fit Old avec un sourire. C'est pas mieux que d'être mort ?
Le Sangheili poussa un glapissement et indiqua à son subordonné au commende du phantom un lieu d'atterrissage pour le phantom.
Episode 3 : Une nouvelle ère (part3)
Le ciel bleu n'était parsemé que de quelques nuages bien blanc.
2 semaines s'étaient écoulé depuis que les 3 humains avaient quitté l'installation 07. Après leur bref passage sur la planète Sangheili, ils revinrent sur le Terre ou le vice Amiral Lird les débriefa. Cependant, la petite équipe attendit 1 semaine complète avant de pouvoir rencontrer ce vice Amiral.
Ils étaient sur Terre, dans un bounker; à plusieurs pieds sous terre. Les 2 scientifiques étaient vêtu d'un costard-cravate chique alors que Old avait revêtu son uniforme blanc d'officier qu'il n'appréciait pas réellement. De plus, sa poitrine bardé de décoration lui faisait honte. Il n'aimait pas attirer l'attention.
Le colonel Mickael Old était une personne simple, qui malgré les apparences savait beaucoup de chose mais il était un tacticien hors paire, un très bon tireur d'Elite et il avait été entrainé par les HellJumpers pendant une courte période de sa vie. Mais Mickael avait toujours détesté attiré l'œil sur lui, ses talents d'officier lui avait valu le grade de colonel après la chute de Reach, il n'avait que 35 ans à l'époque et la seul manière qu'il avait trouvé pour enlever son image de parfait et talentueux soldat était l'humour....Le « foutage de gueule »....
Un humour forcé au départ qui est vite devenu naturel chez lui et incontrôlable. Mais en réalité, il soufrait, il cachait cela à tous ses supérieurs, amis et collègues mais enfouie à l'interrieur de lui, il soufrait d'une solitude. Son père, sergent dans les TCAO était mort au départ de la guerre contre les covenants, mais son mal remontait à bien avant ça, lorsqu'il avait 10 ans.
Mickael découvrit un matin de week end, sa mère pendue dans le salon, le regard vide et la peau blanche. Cette image l'avait traumatisé et le traumatise encore, il se sentait coupable et c'était le cas. Ça mère avait mis fin à ses jours à cause de son fils qui au fil des années montrait un caractère de plus en plus difficile à supporter, même jeune, il n'avait pas peur de traiter sa mère de « sale pute » dans un restaurant chique parce qu'elle avait sourie au serveur; ou le fait qu'il lui ai coupé un doigt un jour ou elle l'avait grondé et punis; ou la fois ou il avait tué son chat pour montrer à sa mère qu'il tenait réellement à avoir une télévision dans sa chambre.
Du jour ou il a vu sa mère pendue comme un cochon en train de sécher, toute les monstruosités qu'il avait fait lui sautèrent au visage, à cette instant là, il devint un enfant normal et même précausse au niveau des études. Par la suite, il avait décidé de ne jamais fréquenter personnes, aucune femme car il ne voulait pas que tout cela recommence. Il n'avait aucune attache, même aucun ami. Tant de chose qu'il dissimulait derrière de l'humour un peu ironique, sarcastique, par fois sombre ou blessant
par moment.
Une porte coulissante s'enfonça dans le mur. Old se tint droit, puis il vit arriver un jeune sergent qui invita les 3 hommes à rentrée.
Wayne fut le premier à voir la salle carré disposant seulement d'une table de métal et de chaise en bois banal.
Ils prirent place en face du vice Amiral Lird, responsable des rapports de mission.
L'homme dégarnit tenait dans sa main le rapport complet du colonel Old. Après quelques secondes, il pausa le dossier sur une pile de 2 autres dossiers appartenant aux scientifiques à coté de lui.
Les 3 hommes avalèrent difficilement leur salive en voyant l'Amiral soupirer et croiser les mains sur la table froide.
- Docteur Wayne Strom, Vous avez libéré ce nouvel ennemi n'est ce pas ?
Wayne inclina doucement la tête.
- Oui monsieur. Mais se n'était pas délibéré.
L'Amiral eu un légé sourire.
- J'espère bien docteur.
Lird regarda la pile de dossier et s'humecta les lèvres d'un coup rapide de langue.
- Vos 3 rapports étaient complet. Je n'ai pas de question. Cette interrogation va être brève
- Monsieur ! Fit Wayne. J'ai mentionné dans mon rapport qu'il fallait trouvé le Graal. Malgré que cette menace robotique soit écarté, je pense qu'avoir cette arme serait très utile.
Lird baissa la tête quelques secondes et la redressa l'air grave.
- La menace n'est pas écarté. Tous les Destructeurs non pas été détruit et la colonie Elite est tombé, ils ont volé des vaisseaux et détruit des mondes Sangheilis au alentour. Nous avons eu cette info il y a 3 heures. Messieurs ! Vous 3 connaissez l'ennemi. Envoyez une flotte ne servira à rien, elle sera capturé. Tous vaisseaux à ordre de rejoindre le monde de son peuple le plus proche. On va renforcer nos défenses pour ne pas perdre de colonie mais inutile de vous dire qu'on ne tiendra pas longtemps. Une équipe de 6 membres a été autorisé, dont vous 3. A vous de choisir vos coéquipiers dans cette quête du Graal. Inutile de vous dire que vous êtes notre dernier espoir et nos experts qui avaient le plus de connaissance sur l'ennemi. Du moins pour l'instant. Vous avez carte blanche. Je reviens dans 2 heures prendre les noms.
Lird se leva, ramassa les dossiers et sortie de la pièce, laissant les 3 hommes réfléchir à une composition d'équipe efficace sur le terrain.
Old se leva de sa chaise et s'assit sur le bureau face à ses coéquipiers. Il croisa les bras sur sa poitrine et dit « Alors ». Les 3 hommes se regardèrent, le plus démunit était Putninsky qui n'était pas un homme de terrain et ne connaissait personne susceptible d'être un bon candidat.
- Il faut un bon gros casse coup au cas ou, commença Old...
- Un Sangheili ? Demanda Wayne en haussant les épaules.
- Un Spartan III. Le numéro 108. Il est l'un des meilleurs, l'un des seuls survivant à la guerre contre les covenants, faites moi confiance.
- Pourquoi ne pas prendre 3 spartans ? Suggéra Putninsky.
- Non. Il faut varier l'équipe, déclara Old. Même si chacun des spartans à un domaine particulier. Dans l'ensemble, ils se ressemblent tous. A mon avis, il nous faut un médecin. Mais, je n'en connais.
- Moi si, dit Putninsky en levant la main. La doc Rachel Lutrell, elle à l'habitude de soigner sur le terrain comme dans une infirmerie et elle est sortie première de ça promotion.
- Bon, fit doucement Old en acquiesçant.
La suite fut parsemé de nom que Old tapait sur un ordinateur pour obtenir des fiches, mais aucun ne semblait correspondre ou être de taille à partir en guerre contre un puissant ennemi.
Les 2 heures passèrent et Lird revint, se rassit sur sa chaise et regarda les 3 hommes avec une légère grimace.
- On vient de m'informer qu'une colonie humaine est tombé...Elle comprenait une population de 5 millions d'habitants et 3 stations spatiales. De ce qu'on en sait. Il n'y a eu aucun survivant humain.... Votre équipe est prête ?
- Hé bien. Pris parole Old, tout d'abord, une médecin, la Doc' Rachel Lutrell.
- Lutrell ? Fit étonné Lird. Quand je vais la voir c'est rarement pour être soigné...
- Ben quoi ? Demanda Old l'air stupide. C'est pas moi, c'est Putninsky.
- C'est un bon médecin mais elle est connu pour ses méthodes brusque, continuez...
- Nous souhaitons le spartan D108, continua Old.
- Je dois vous dire que c'est un bon choix, mais il est peu loquasse.
- Je sais, j'ai déjà eu affaire à lui.
- Votre dernier homme ?
Il y eu un blanc. Un silence. Le 6em homme n'était pas encore trouvé, aucun ne semblait avoir l'étoffe du Héros, partir au combat, tout risquer. Aucun au sein de l'armée.
- très bien. Je vais vous confiez le lieutenant Lird. C'est mon fils. Il est talentueux.
Old grimaça, il aurait voulu que son équipe choisisse elle même ces hommes et pas qu'on leur fournisse un 6em membre peut-être incompétent et que personne de l'équipe ne connaitra.
Wayne s'avança vers la table, regardant le Vice-Amiral.
- J'ai quelqu'un d'extrêmement compétant.
- Qui dont ? Demanda Old surpris. Pourquoi ne pas en avoir parlé avant ?
- Il a quitté la navi. C'est un Sergent TCAO. Il s'appelle Edward Buck, sur Harvest, sur Reach, et sur Terre, ainsi que d'autre monde. Il a toujours survécu...
- Je le connais, acquiesça Lird. Nous avons une amie en commun. Très bien messier. Vous allez être transféré sur la station spatial « Jupiter » en attendant vos hommes. Je vous propose de préparer un bon débrieffing pour bien leur expliquer qu'ils seront le seul espoir de l'humanité.
* * *
Deux mains ganté de noir attrapèrent un casque grisâtre poser sur le capot d'un Warthog.
Les mains placèrent le casque sur un crane fraichement rasé. Un légé sifflement satisfaisant indiqua que le casque était hermétiquement fermé.
Le spartan leva légérement la tête vers le ciel faisant miroiter les images devant lui sur sa visière orangé.
Dans le ciel, un Pélican passa. Il se pausa non loin du Warthog et du spartan. Le supersoldat baissa rapidement la tête, la tourna vers une petite table métallique à 3 mètres de lui.
Le corps se tourna comme un seul muscle et après 2 grandes enjambés il arriva au niveau de la table. La première chose qui le frappa fut le nombre de chargeur conséquent pausé dessus. Il les pris tous et les accrocha à sa ceinture. Il se munit d'un Magnum M6G qu'il rangea dans une fente adéquate sur son armure grise. Puis il empoigna un fusil d'assaut MA5B à la grande cadence et capacité de tir.
Le spartan alla vers le lieu d'atterrissage du pélican. En direction du soleil qui se couchait dans l'océan bleuté tout proche.
Le spartan se raidit en l'approche du Brigadier général Mitch. Ce dernier, à peine sortit du véhicule de transport aérien du CSNU ordonna à son soldat de se détendre.
- Bonjour Spartan D108 ! Déclara l'homme. Vous savez pourquoi on est ici. Les brutes sont partout et notre petit campement n'est plus secret depuis longtemps. Ils vont nous attaquer. Mais on touche au but. On a retrouvé le colis, elle est dans un des camps les plus proches au main des brutes. Le camp n'est pas trop gardé. Mais seul un spartan pourra se fofiller à l'interrieur.
Le général se décala et montra la soute du Pélican ou un autre spartan à l'armure blanche et au détail noir astiquait son fusil de sniper avec un vieux chiffon.
- Spartan G087. Vous n'avez jamais travaillé ensemble mais vous formerez une bonne équipe.
La mission était lancé. Le Pélican s'envola avec les 2 spartans à son bord pour un camp Brute situé à 50 kilomètres du campement humain. Cette planète n'était pas sur, même la faune et la flore semblaient hostile.
Le Pélican largua les 2 spartans en haut d'une falaise surplombant partiellement le camp. Sans un mot G087 se mit en position.
D108 enfila un module Jet Pack pour amortir sa chute lors du saut de la falaise dans le camionne en contre bas.
Il sauta et à 5 métres du sol activa son module. Sans bruit il se pausa. Il enleva l'appareil qui allait le déranger pendant la mission et il le cacha derrière un bloc de roche.
D108 leva la tête, la nuit était tombé. Il baissa la tête en employant son fusil d'assaut.
Le spartan III courut, longeant les rochers, se cachant par fois derrière pour éviter les patrouilles jiralhanae. Bientôt, il fut à l'interrieur du campement. Il plongea et rampa sur le sol terreux pour éviter d'attirer l'attention des quelques gardes se battant un morceau de nourriture.
D108 pénétra dans une tente fortement gardé, la discrétion était son fort mais la moindre erreur ou un manque de chance alerterait les 20 gardes éveillé et les 50 autres endormies.
Le spartan trouva finalement un casque, semblable au sien, mise à part que la visière était cassé et que du sang humain recouvrait la partie interne.
Après un soupire involontaire, il retourna le casque et sortie une micro-puce qu'il enfonça dans une fente de son propre casque.
Son écran tête haute afficha plusieurs données contenu, il s'agissait visiblement d'un plan de bataille Brute qu'il n'aurait pas le temps d'étudier en ce lieu. Il refoula les informations et attrapa son fusil d'assaut.
Sa mission n'était pas terminé, il fallait quitter le camp.
Tout aussi discrètement, il sortit, rampent et longent les murs. Mais il fit l'erreur d'oublier une patrouille mobile. Alors qu'il était accroupit derrière une petite pierre, il se retrouva nez à nez avec une Brute. Vu son pelage soyeux, elle semblait être jeune, la surprise barrant son visage. Cette surprise fut la dernière. La créature s'éfondra au sol dans un bruit sourd, D108 avait eu de la chance, mais il devait surtout féliciter les talents de tireur de son allier. A cette instant précis, le coup de feu, bien que sourd attira les regards des ennemis au alentour. Un jiralhanae endurci attrapa une corne et commença à souffler. D108 pointa son canon sur lui mais un tir de sniper le fit taire avant.
D108 se redressa et couru, beaucoup de tir passaient à sa droite et à sa gauche, peu le toucher. Tout en courant, il tirait pour ralentir ses adversaires qui tombaient facilement aux tirs de sniper.
D108 attrapa son Jet Pack, l'enfila et l'alluma pour rejoindre le sommet de la falaise, tout en grimpant, il ouvrit le feu avec un nouveau chargeur, mais bientôt il ne fut plus à porter de tir.
A peine en haut de la falaise, le pélican arriva. Les spartans montèrent sans perdre une seconde. Alors que le véhicule faisait route vers le campement humain, D108 satisfait de sa mission, entendit sa radio grésiller.
- Bravo Spartan ! Dit la voix du brigadier Général. D108, G087, merci. 108 ! J'ai reçu une communication importante venant de la Terre. Vous partez sur le champ. Je crois qu'on devra saboter leur croiseur sans vous. Mitch, terminé.
D108 se décontracta légérement, la guerre avait beau être fini, les moments pour souffler était peu nombreux pour ne pas dire inexistant.
***
Sur Terre, Buck marchait les mains dans les poches sur une herbe verte et humide. Une baraque était face à lui, sa maison. Sa lui suffisait une petite maison en Ecosse avec vu sur un château, un très vieux château plus loin.
Buck arriva sur le pas de sa porte, il abaissa une poignée et dans un grincement la porte de bois s'ouvrit. Il attrapa 2 packs de bière pausaient dans l'entrée. Il rabattit la porte du pied, fut satisfait de l'entendre claquer. Il rejoignit la cuisine et plaça les 2 packs de bière dans son réfrigérateur, puis il rejoignit le salon. Une pièce sombre ou il alluma une télévision. Un écran holographique se forma et afficha une course de vaisseau sur le poing de commencer. Buck afficha un léger sourire et s'installa dans son fauteuil de cuir. Il chercha sur sa gauche, parmi les sacs de chips vide, des restes malencontreusement oublié les jours d'avant. Mais il ne trouva rien. Alors qu'il se leva pour aller chercher à manger, quelqu'un frappa à sa porte. Après un soupire, il alla ouvrir.
2 hommes étaient présent sur le pas de sa porte. Ils étaient vêtu de tenu blanche parfaitement repassé, l'un des hommes était Major, l'autre, Lieutenant-Colonel.
Le plus gradé fit un sourire forcé.
- Bonjour sergent. Nous venons vous informez que vous reprenez du service.
Buck fit les yeux blanc puis secoua légérement la tête.
- Heux...non.
Il ferma sa porte mais une botte bloqua cette dernière, Buck fut obligé de rouvrir et d'écouter les officiers du CSNU.
- Sergent, le Docteur Wayne Strom à besoin de vous pour une mission de la plus haute importance.
Buck grimaça, il n'avait pas l'air heureux mais il semblait accepter tout de même, surement en souvenir du bon vieux temps.
***
- Docteur Lutell ! Cria un marine. On a besoin de vous !
Un obus explosa rendant le ciel rosé. Une femme arriva et se cacha derrière un Warthog renversé avec le marine qui avait crié son nom.
Le pauvre homme avait une balafre de sang lui barrant le visage. Il cligna des yeux rapidement pour enlever les goutes de sang lui coulant entre son nez et ses yeux.
- Mais enfin Caporal, dit la médecin. Que c'est t-il passé ?
- Un missile nous a heurté. Le Pélican c'est crashé. Il ne reste que vous et moi sur pied. Je crois que le colonel est en vie mais gravement blessé.
Le soldat se tourna montra du doigt un corps caché derrière un morceau de coque du Pélican.
- C'est le colonel Raynolds. Il est mal en point.
Lutrell attrapa sa trousse de soin et s'apprêta à porter assistance au marine quand une question lui traversa l'esprit.
- Qui a fait ça ?
- Nos amis les rebelles...
Le soldat empoigna 2 fusil d'assaut MA5C.
- Je vous couvre !
Lutrell acquiesça, rejoignit son patient gémissant. Il avait une jambe cassé, ça se voyait à l'oeil nu.
Elle s'approcha du visage du colonel et plaça sa main sur son torse pour le rassurer. Mais l'inquiétude remplis la jeune femme. 2 cotes avaient été brisé et s'étaient rompu littéralement du reste. Les morceau aussi tranchant qu'une lame avait peut-être perforé des organes.
Malgré tout ça, elle garda la tête froide, s'occupa en premier lieu de la jambe qu'elle tira vers elle dans un hurlement de douleur de la part du colonel.
Une fois fait, elle s'arma d'un tissu mouillé et épongea le front ensanglanté du marine. Lutrell y découvrit une plaie profonde qui aurait put à elle seule tuer le pauvre homme du CSNU.
Malgré tout ces mauvaises surprises, elle garda encore et toujours un sourire forcé face à Raynolds suffocant. L'une des cottes -ou peut-être les 2- avaient du perforer un poumon.
Le temps était orageux et lorsque le brave marine posté derrière le Warthog se mit à ouvrir le feu, Lutrell cru l'espace d'un instant qu'il s'agissait du tonnerre.
Elle eu le réflexe de vouloir attraper son sac à dos volumineux accroché dans son dos, mais elle l'avait perdu dans le crash. Pourtant elle savait qu'elle devait sauvé ce marine. Aucun des hommes du CSNU ne méritait la mort.
Elle ouvrit la trousse de soin qui comprenait les premier secoure à administrer. Seul des médicaments contre la douleur y était présent ainsi qu'une bombe Cryogénique de soin.
Lutrell attrapa le module de soin, déchira d'un coup sec les vêtements recouvrant le torse de Raynolds qui frémi.
- Tenez bon colonel, murmura Lutrell.
Le torse était entaillé de plusieurs coté mais une plaie assez grande était ouverte au niveau des cottes.
Elle plaça l'emboue du tube dans la plaie même et envoya le gaz cryogénique qui se mit immédiatement à mousser et à durcir en contact de l'air.
Le torse du colonel se bomba d'un coup à cause de la mousse de soin.
Cette technique était déconseillé par les médecins. La mousse devait être en contact avec la plaie. Pas à l'interrieur, mais le docteur Lutrell savait se qu'elle faisait.
A la suite de cela et d'un gémissement intense, le colonel adopta une respiration forte mais stable. Lutrell lui avait permis de moins souffrir et de faire patienter les blessures interne jusqu'à qu'il soit admis dans une infirmerie.
Lutrell se replongea sur la blessure profonde au niveau du crane. Elle épongea le sang reformé et chercha un désinfectant dans la trousse de soin. Malheureusement, le flacon était vide et avait déjà servis. De colère elle frappa le sol.
- Fuyez doc', souffla le colonel.
- Non ! Mon colonel. Je vous sauverez.
La docteur regarda tout autour d'elle. Elle avait eu une idée, elle chercha un cadavre, un soldat qu'elle n'aurait jamais l'honneur de sauver. Une fois trouvé, elle alla vers lui et déguéna le révolver de la ceinture ensanglanté. Elle revint sur ses pas, l'arme en main.
Lutrell était médecin, mais ne faisait pas partie de l'armée et son équipement ne comprenait pas d'arme de poing, de plus, l'arme du colonel avait disparu.
Elle présenta au colonel l'arme en main. Son sourire avait disparu.
- J'ai un plan colonel. Mais ça va vous faire mal.
Raynolds fit un mouvement oculaire rapide de droite à gauche puis fixa le ciel orageux en lâchant une larme. Comment pouvait-il avoir plus mal ?
Lutrell pressa un bouton de l'arme et le chargeur tomba dans sa main gauche. Elle lâcha la première partie de l'arme pour se contenter du simple chargeur. Elle retira une simple balle et pausa le réservoir de munition au sol.
Rachel se munit du couteau de combat du colonel toujours attaché à la ceinture.
Grâce au couteau, la doc' sépara en deux la balle et mit la poudre contenu à l'interrieur dans le creux de sa main. Elle pausa ensuite la poudre sur la plaie scintillante se qui causa une douleur de brulure sur le coup.
Lutrell sortit de la trousse de soin un briqué, elle l'approcha de la poudre.
- Attention. Dit-elle.
La flamme du briqué éclaira le front rougeâtre par le sang mais embrasa la poudre de la balle.
Raynolds cria de douleur recouvrant même le bruit des détonation de fusil automatique.
A la suite de ce cri, le colonel tomba dans les pommes. Lutrell tata son pou. Il était en vie.
Elle s'affala sur le sol en rigolant. Elle avait sauvé le colonel en donnant plus que des premier soin dans un endroit des moins engageant. Sa laisserait une petite heure au colonel avant de tombait dans le coma ou que sa plaie à la tête se réinfecte.
Sa radio grésilla soudainement.
- Ici le sergent Ariman, Docteur Lutrell vous êtes en vie ?
Rachel se redressa et pris sa radio répondant que oui et demanda un transport d'urgence.
A peine sa phrase terminé. Un pélican arriva, balaya la zone à coup de balle et se rapprocha de la position des rescapés.
- Montez vite à bord avec le reste de votre équipe. On vous envoie sur Terre.
Posté le : 29/01/2011
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