DIVERS - Fan fiction
L’œil est le miroir de l'âme
Le contexte
Quelques temps après la fin des aventures de Sierra 117. Les humains et les covenants restent ennemis, bien que le gros de l'armada covenant se soit rassemblé sous la bannière de l'arbiter au sein de l'Alliance, qui elle, reste neutre envers l'humanité.
PROLOGUE: Une nuit dans les étoiles
Il était d'une noirceur inhabituelle. Une noirceur qui laissais deviner la longue nuit qui se préparait...
Le professeur Harrisson plongeât 4 sucres dans son café. Il l'avais fait aussi fort que possible afin de rester éveillé autant qu'il le pourra. Il tendît une autre tasse, contenant, elle, du thé, à la femme assise face à lui.
-Alors, amiral Wind, qu'en pensez-vous ? Demandât le professeur.
-Comment ? Demanda l'amiral.
-Que pensez-vous de mes plans ? Questionna le professeur.
L'amiral Wind réfléchie un instant. Elle bût une gorgée de thé et observa l'homme qui lui faisait face. Le professeur Harrisson était bien plus âgé qu'elle, mais gardait malgré tout une carrure imposante, surtout pour un scientifique. Il avait les yeux orangés, et les cheveux blonds. C'était un homme respecté, mais qui avait tendance à s'administrer divers breuvages dont les effets étaient plus ou moins conséquents, et surtout, plus ou moins grave.
-Pour ma part, répondit l'amiral, je trouve cela tiré par les cheveux.
Le professeur voulu parler, mais elle l'en empêchât :
-Néanmoins, repris-t-elle, je sais que vous êtes l'un des plus grands scientifiques de l'ONI. Mais c'est bien la première fois que je vous vois accordé tant d'importance à une légende covenante.
-Mais c'est là que vous faîtes erreur, répondit-t-il, c'est là que vous faîtes erreur. Ce n'est pas une simple légende mais un fait historique à part entière ! Sans quoi les covenants eux-même n'y accorderaient pas tant d'importance !
L'amiral ne sembla pas convaincue. Mais sa curiosité avait été piquée à vif.
-Bon, reprenez depuis le début, demandât-t-elle.
Le professeur pris une gorgé de café, ramassa ses notes et commença :
-Il y a plusieurs milliers d'années, les élites envoyèrent une flotte dans une galaxie lointaine. Galaxie que l'on peut aisément trouver comme étant la galaxie d'Orion. Là-bas, ils découvrirent une planète très proche du soleil, mais présentant néanmoins une végétation luxuriante et un climat agréable. Ce climat semblait être généré par un bâtiment, très imposant, placé au nord de la planète, et la traversant jusqu'au sud. Les colons élites tentèrent alors d’examiner cette structure, qui dégageait une intense puissance.
-Et ? Demandât l'amiral.
-Et les élites perdirent subitement tout contact avec les colons. Le dernier signal envoyé était très clair, le général en chef des colons hurlais : « C'est un enfer, ne revenez jamais ici, la survie de notre espèce en dépend ! ». Depuis, les covenants, pas seulement les élites, tous les covenants, refuse de naviguer dans cette galaxie. J'ai envoyer une sonde aux coordonnées de la planètes, mais à ma grande surprise, je n'ai pas trouver de planète. En revanche, j'ai pus apercevoir ceci.
Le professeur tendît une photographie à l'amiral. Elle l'observa attentivement. La photographie représentait un espace infini, noir, étoilé. Mais très vite, l'amiral remarqua un détail gênant.
-Cette photo à été retouchée, s'exclama-t-elle.
-Oui, répondit le professeur. Elle à été retouché pendant son voyage de la sonde à ici. Et bien entendu, j'ai recréer l'original.
Il tendît une autre photographie à l'amiral, qui eut un regard surpris. Devant l'espace infini, les étoiles et les comètes se dressait cette fois un immense vaisseau, dont l'un des canons faisait feu droit vers la sonde.
L'amiral repris une gorgée de thé, réfléchit, puis demanda :
-Ce ne sont pas des covenants, n'est-ce pas ?
-Non, répondit le vieil homme, ce ne sont ni des covenants, ni des forerunners, ni quoi que soit que je connaisse. En revanche, poursuivit-il, c'est puissant. Très puissant. Trop puissant pour qu'on le laisse être une menace de plus pour l'humanité.
-Alors que proposez-vous ? Demandât l'amiral.
-C'est simple, répondit le scientifique, envoyer une proposition d'alliance, ou au moins de non-agression.
-Et si cela ne fonctionne pas ? S’inquiétât l'amiral. Que prévoyez-vous si cela ne fait qu'attirer leur attention sur notre planète, déjà ravagée par les covenants ?
-Et bien, il suffira de leur envoyer mes enfants, ricana le professeur. Je suis sûr que cela sera convainquant.
-Très bien, conclu l'amiral. Vous avez mon autorisation pour faire partir une équipe de négociation robotisée vers ce vaisseau. En cas d'échec, vous serez tenus comme seul responsable et pourrez envoyez les prototypes de spartans Vn. S'ils échouent je ne donne pas cher de votre peau.
-S'ils échouent, termina le professeur en se levant, le regard étincelant, je ne donne pas cher de notre vie à tous. Mais on a déjà titiller la bête et la laisser ainsi ne serai pas prudent. Et sincèrement, vous doutez de mes enfants ?
-Ce qui m'inquiète, professeur, dît-elle, ce ne sont pas leurs capacités, mais plutôt leur santé mentale. Ce n'est pas pour rien qu'ils sont internés et rayés des expériences faîtes par l'ONI.
-Mais ne vous en faîtes pas, ricana le vieil homme, ils ne vous écouteront pas vous, mais moi, ils m'obéiront.
Chapitre 1: De la Terre vers Orion
Le professeur Harrisson entra dans le
pénitencier militaire de Dargore. Il s'approcha de l'allée
conduisant au sous-sol secret, là où étaient détenus les pires
criminels. Les deux gardes postés à l'entrée de ce passage le
laissèrent passer, et il pus rejoindre la cellule ou l'attendaient
ses six plus belles créations.
-Enchanté, professeur, railla l'un
d'entre eux.
Il mesurait aux alentours de deux
mètres soixante-dix et avait une carrure imposante, en plus de son
armure. Il ne portait pas de casque et on distinguait très
clairement ses yeux violets. Le professeur, accompagné des deux
gardes, ouvrit la porte de la cellule et entra.
-J'espère que vous ne vous êtes pas
trop attachés à ce lieu, dit-il, parce que vous n'allez pas y
rester longtemps !
Le professeur expliqua aux six spartans
la découverte qu'il avait fait, l'échec des négociations, et leur
importance pour la survie de l'humanité.
-Et on y va seuls ? Questionna un
spartan aux yeux rouge. Parce que faudrait pas nous coller un de ces
boulets des forces spéciales qui restent planqués dès qu'ils
voient une mandibule, s'exclama-t-il.
-Aucun problèmes, répondit le
professeur. Vous partirez en mission avec le colonel Hawkins, un
excellent stratège, le général Simmons, qui est un excellent
mécanicien...
-Il me semble, le coupa un spartan aux
yeux verts, que je suis assez bon mécanicien pour ne pas avoir à
s'encombrer d'un incapable de l'UNSC.
-Caporal Jones, vociféra la
professeur, le général Simmons est au moins aussi bon mécanicien
que vous. De plus, il me semble que vous n'êtes pas capable de
conduire seul deux falcon afin de transporter l'équipe, et vous
aurez besoin d'autant de tireurs que possible. Pour finir,
hurla-t-il, moi, je choisis l'équipage, vous, vous faîtes en
conséquence. Est-ce clair ?
L'un des gardes songeât que le
professeur avait dût être un général respecté par le passé pour
hurler avec tant d'aisance sur un homme de près de trois mètres. Il
se dit finalement que c'était grâce à lui que ses spartans étaient
si fort et qu'il était normal qu'ils le respectent.
-Pour terminer la liste de vos joyeux
compagnons de bord, termina le scientifique, on vous à offert le
brigadier Armstrong, le seul spartan de votre calibre que je
connaisse.
-Il est si fort que ça, questionna le
spartan aux yeux violets, ou bien c'était de l'humour ?
-Non seulement il est fort, répondit
le professeur, mais en plus il n'a aucune idée du sens du mot
discipline. C'est pour cela que vous vous entendrez sûrement à
merveille.
Les spartans et le scientifiques
éclatèrent de rire et prirent le départ vers le port spatial.
Le général Wind attendait le
professeur Harrisson dans son bureau quand celui-ci arriva,
accompagné du spartan aux yeux violets.
Amiral, commença le professeur, je
vous présente le commandant Ellis, tireur d'élite d'exception, et
chef de l'équipe Eclipse.
-Je sais qui il est, répondit
froidement l'amiral. Ce que je ne sais pas, en revanche, c'est
pourquoi vous avez osé amener un homme au passé si trouble dans mon
bureau.
-Et bien, dit le professeur, j'ai pensé
que ce serai utile pour lui de savoir ce que lui et ses plus proches
amis allaient faire à l'autre bout de l'univers.
-En fait, ironisa le commandant, ce
n'est qu'un détail, mais c'est toujours plus simple de faire quelque
chose quand on sait de quoi il s'agit...
-Gardez votre insolence pour vous,
commandant, dit l'amiral, visiblement vexée.
-Oh, répondit le spartan, mais je ne
vois pas de quoi vous voulez parler !
-Taisez-vous, insista-t-elle. On va
vous briefer. Je sais très bien pourquoi vous et vos hommes étiez
incarcérés. Si ça ne tenait qu'a moi vous seriez partis seuls vers
Orion.
Le commandant eut un rictus. Il pris
sur lui, en grande partie à cause du regard du professeur.
-Certes, dit-il . Vous n'avez rien
à ignorer de moi. Mais si c'était à refaire, je le ferai.
En sortant du bureau de l'amiral, le
commandant rejoignit ses soldats. Il les trouva en pleine discussion
avec trois officiers.
-Qui êtes-vous, demanda-t-il. Que
faîtes-vous ici ?
Les trois officiers regardèrent
l’impressionnant spartan. L'un d'entre eux pris la parole :
-Général de brigade Armstrong,
cria-t-il, pour me servir ! Voici le général Simmons et le
colonel Hawkins, nous sommes tous les trois membres de la mission
vers Orion. Vous devez être le commandant Ellis, je présume.
Le commandant confirma.
-Très bien, continua le brigadier,
j'ai entendu parler de vous vous savez...
Le commandant eut un nouveau rictus et
canalisa sa colère.
-...Et sachez qu'à votre place,
continua-t-il, j'aurai sans aucun doute réagit de la même manière.
Comptez pas sur moi pour vous donner des leçons, mon commandant !
La colère du commandant se dissipa.
Personne, or mis le professeur Harrisson, n'avait jamais admis que
son geste avait été le bon, tous l'avait condamné avec son équipe
à finir en prison.
-Personnellement, dit le général
Simmons, j'approuve aussi votre geste.
Le colonel Hawkins s'avança.
-De quoi parlez-vous ?
Demanda-t-il. Je n'ai jamais entendu parler de vous...
Tous le regardèrent avec étonnement.
-Écoute, on verra ça plus tard,
grogna le commandant. Tout ce que je te demande de retenir, c'est le
nom de mes gars et leur utilité en tant que soldat.
-Et bien justement, répondit-il, ils
n'ont pas encore eut le temps de se présenter.
-Alors dans ce cas, dit le commandant,
c'est moi qui vais m'en occuper. Donc, tout d'abord, le caporal
Jones, mécanicien et pilote hors-pair, ensuite, le lieutenant
Aronovitch, le plus grand assassin de toute l'histoire, sa plus belle
prise étant un prophète égorgé au beau milieu d'une réunion
d'abominations !
-Ça s'appelle des covenants, chef,
ironisa le lieutenant.
-Je le sais très bien, vociféra le
commandant, mais abomination leur correspond mieux. Bien, voici le
sergent Ehren, médecin, le soldat Bradley, fusilier, excellent
fusilier même, le soldat Wilkinson, notre artilleur, et le meilleur
pour la fin, moi-même, tireur d'élite.
Les neuf spartans éclatèrent de rire.
-Et bien, le narcissisme est votre mot
d'ordre, le soldat Bradley était déjà en train de s'admirer dans
sa visière quand nous sommes arrivés, s'exclama le colonel, mais
vous êtes encore pire !
-Et bien pour ma part, je ne
m'attendais pas à ce que les trois officiers que l'UNSC m'a confié
soit trois spartans. D'habitude, ils occupe des postes plus bas dans
la hiérarchie.
-Mais dîtes-moi, commandant, demanda
Simmons, n'étiez-vous pas général avant votre petit incident ?
A moins que ma mémoire ne me joue des tours...
-Tient donc, s'écria Ellis, il
semblerai qu'i soit l'heure de partir ! Tout le monde à bord !
J'espère qu'on sera rentrés pour l'apéro.
Les spartans entrèrent dans le
vaisseau. L'IA du vaisseau apparue soudainement et pris la parole :
-Bonjour spartans, je suis Superbia, IA
du vaisseau « Raging Starfire ». Mon but et de vous
conduire vers la galaxie Orion.
-On s'en fout, railla Armstrong, arrête
de parler et démarre les moteurs.
-A vos ordres, répondit Superbia. Ce
voyage est sponsorisé par la marque m&m's et...
-Non mais c'est pas vrai, hurla le
brigadier, l'UNSC à même pas les moyen d'envoyer ce tas de
ferraille sur Orion toute seule ? C'est plus ce que c'était !
-Brigadier Armstrong, répondit l'IA,
votre taux d'alcool est largement supérieur au taux acceptable. Je
vais devoir vous demander d'aller vous reposer en salle de
dégrisement.
Le brigadier se remémora les verres
pris « au cas ou il ne reviendrai pas », ceux « pour
ne pas oublier le goût en route » et enfin ceux « parce
qu'à bord il ne pourra plus boire ». Il déçida finalement de
rester sur le pont.
-Bon, je m'excuse de mon comportement,
ce n'est pas habituel, comme vous devez le savoir, Superbia. Soldats,
je pense qu'il vaudrait mieux que l'on fasse ce voyage cryogénisés.
-Excellente idée, répondit le
commandant, néanmoins, il nous faut préparer un plan avant afin
d'être prêts dès notre sortie de cryogénie.
Les spartans et l'IA discutèrent
longuement du plan à adopter, mais les informations à leur
disposition étaient maigres. Une photographie, en fait deux avec la
retouche, un vaisseau imposant, estimé à plusieurs kilomètres de
long selon Harrisson. Mais aucune info sur la race et la technologie
de cette espèce. Finalement, les spartans décidèrent d'aller une
fois en salle d’entraînement avant d'être cryogénisés.
-On y retournera après, dit le
colonel, ainsi, on observera qui à le plus mal tenu les douze jours
de cryogénie.
-C'est une excellente idée, dit le
commandant. Après ceci, je pourrais me faire une opinion définitive
sur vous trois.
-parce que ce n'est pas déjà le cas ?
Demanda Armstrong.
-Pour ma part, je ne pensais pas voir
des spartans sur le pont. Je vous imaginais aussi plus sérieux,
brigadier. J'avais beaucoup entendu parler de vous avant notre
rencontre.
-Et bien, répondit le brigadier, je
suis sérieux quand les conditions l'obligent, pas quand j'ai fêter
mon départ dans plusieurs bars. C'est assez rare que je boive, mais
ça arrive. Quand à vous, commandant, je vous y imaginais, vous et
vos hommes, plus sombres, bien moins aptes à plaisanter.
-Désolé de vous décevoir, répondit
le commandant. Nous sommes à la salle d’entraînement.
Le matériels de chaque spartans était
prêt. Tous s'étonnèrent de l'armement du brigadier.
-Vous utilisez du matériel covenant,
Armstrong ? Demanda le commandant.
-Non. En fait, toutes ces armes ne sont
pas à moi, répondit-il, on a dût me faire une farce.
Le commandant saisit immédiatement
l'ironie, et observa le matériel du brigadier.
-Épées à énergie et needler, dit le
brigadier. Et j'ai aussi des grenades à plasma et une tourelle, mais
ils sont dans mes bagages...
L'entraînement dura près d'une heure.
Le commandant domina largement les autres spartans, bien que le
brigadier soit le seul à avoir dépasser les autres spartans Vn.
Après cet entraînement, il se dirigèrent vers la salle de
cryogénie, et, après s'être dit « à tout de suite »,
ils s'installèrent dans leurs chambres, prêts pour un long sommeil
dans la glace.
Posté le : 11/06/2012
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