Veuillez patientez...


DIVERS - Fan fiction

Autobiographie de Daisy - Part I - 15 ans

Chapitre 1
Le dur réveil.

Je me réveille soudainement, comme submergé par la douleur, je ne sentait que la douleurs, au niveau 
Des jambes, et de la tête, j'avait des espèces de tuyaux pour respirer un peut partout, puis, par urgence, il faut que je recouvre mes esprits, et au bout de quelques minutes, je me forces à bouger la tête, pour savoir où je suis.
Je regarde autour de moi et je ne voit qu'une table basse, un siège et un écran ou passe un fil vert zigzaguant, et enfin, deux bouteille remplis de liquide, un rouge, et un transparent.

J'essaye de chercher dans ma mémoire où je suis mais je ne sais rien, ni même mon nom, 
je ne connais que des mots, et leurs sens, ce qui permet, heureusement de pouvoir m'exprimer.
D'ailleurs, à ce moment là, trois personnes entrent dans la salle où je suis, un homme, grand et blond avec une blouse blanche, et enfin une femme avec des yeux bleuts verts et des cheveux blonds puis un homme au cheveux brun comme ses yeux.

L'homme en blouse vient d'abord m'enlever les tuyaux qui m'empêchaient de parler, puis
Je les regardes profondément, et eux de même, puis la femme me dit tout à coup:
_"Ma petite Daisy, tu t'es enfin réveillée!"

Alors, ne comprenant pas, je m'exprime à mon tour, en demandant qui est cette "Daisy", et enfin, qui sont ces personnes m'entourant!
La femme me regarde alors avec un aire fatigué, mais surtout étonné, puis tout à coup, elle se met dans les bras de l'homme brun et se met à pleurer.
Cette expression m'étonne vraiment, et je vois l'homme à la blouse mettre sa main sur la drôle de femme et lui dit qu'il l'avait prévenue que j'avait surement perdue la mémoire lors de l'accident.

Ces mots donnèrent peut être une vague conclusion à ce qui m'arrivait. Je serait dans un lit d'hôpital et j'aurait eut un accident provoquant mon horrible douleur aux jambes et à la tête.
Le docteur dit alors à l'homme brun de calmer sa compagne (ce qui expliquerait que la femme en pleure serait la femme de l'homme) et de m'expliquer qui je suis et qui vous êtes.
L'homme mystérieux s'approche alors de moi, l'aire triste et me dit que je m'appelle Daisy.
(un nom que j'apprécie particulièrement!) et que lui et mon père, Jordan et que la femme blonde est ma mère, Kathie.

Alors moi, je le remercie, ce qui le fait sourire, et je lui demande qui est l'homme en blanc, derrière lui, alors il me répond que c'est un infirmier.

Puis comme ça, toute la journée, il va m'apprendre d'autre chose, comme que je suis dans cette hôpital parce que je me suis fait renversé par une voiture, il m'apprend également que j'ai 6 ans et que je vais à l'école, en classe de CP et qu'on était le jeudi 12 Avril 2510.

Ces informations viennent enrichir ma culture qui jusqu'à maintenant ne se limitait qu'à quelques mots.
Ma mère et mon père, Jordan et Kathie viennent alors vers moi et me disent qu'ils faut qu'ils rentrent chez nous, pour s'occuper de "grand-mère".
J'était tellement fatigué, non seulement pour toute les choses que j'avait appris mais aussi pour les doses de piqûres qui me faisaient aussi mal que ma tête, alors je n'ose pas demander qui est cette ou ce grand mère, et dans un laps de temps, à peine trente seconde à mon avis, je m'endort dans mon lit, m'attendant à une nouvelle journée, aussi enrichissante, j'espère, que celle ci.

Chapitre 2
Des drôles de personnes.


Je dormais à moitié quand j'entend une femme qui m'appelle, j'ouvre alors mes yeux et elle s'exclame drôlement fort et avec un aire plutôt content:
_"Ah bha elle a enfin ouvert ses yeux la nine!"
Aussi étonné que contrarié par la douleur de mes jambes et de ma tête de retour, je regarde 
cette femme qui m'apporte un plateau juste sous mon ventre.
Et elle s'exclame à nouveau:
_"Aller ma p'tite, mange ton p'tit dèj', sa va te donner des forces pour l'opérations!"

L'opération?
Qu'est-ce donc encore que ce nouveau mot ou expression...
J'était contente de mon réveille, en seulement une minute, j'apprend deux nouveau mots:
nine et opération.
Je commence donc, sous cette aire content, bien que je souffrait le martyr mon "p'tit dèj' " qui inclu un verre de jus d'orange, un petit bout de pain, une tartine de beurre et enfin deux cachets qui sont à côté d'un papier où est inscrit: "A avaler."
Je ne comprend pas trop ce qui fallait avaler, le papier, ou les deux cachets, mais par logique, je déduit quand même que c'était les cachets.

Je découvre de nouveaux gouts, dont l'orange, que j'apprécie particulièrement, le beurre et le pain.
Pour les cachets, je refuse des les avaler, ayant peur de m'étouffer.

Quelques minutes après mon "repas" j'entend mes parents qui entrent dans ma chambre accompagné d'une personne âgée, blonde au yeux verts.
Mon père me dit que c'est ma grand mère et qu'elle s'appelle Océane, mais pas le temps de terminer sa phrases, qu'elle approche sa tête et me fait un énorme bisous salivant, que mes parents appellent "bisous baveux", ils disent cette expression lorsque ma grand mère enlève sa bouche de ma joue!
Je recouvre mes esprits et cette fois ci, ce sont mes parents qui viennent m'embrasser, moins baveux, je trouve.

Puis je demande à mon père quel était l'écran noir devant moi, il me répond que c'est une télévision, encore de nouveaux mots, et ainsi il l'allume, je vois d'abord une personne, inconnu qui parle de choses dont je ne connais absolument pas le sens, puis des images d’explosions et d'armes qui tire à maintes reprises. Ma mère hausse le ton et dit à mon père d'enlever les informations et de mettre alors les dessins-animés.
Je vois alors des formes très simples, avec des personnes
bizarrement conçus qui parles avec des mots simples que j'arrive à comprendre, et donc, je reste fixe devant cet écran, à presque en oublier mes douleurs!
Puis ma mère dit doucement à mon père, que c'est aujourd'hui l'opération, ce qui vient à 
troubler ma concentration sur la télé et je demande rapidement qu'est-ce que l'opération.
Elle me répond alors que c'est une activité que font des infirmiers et infirmière où ils doivent voir et toucher mon corps pour que je n'ai plus mal.
Cette réponse que je comprend parfaitement viens me redonner le sourire, et je me retourne 
vers l'écran où je recommence à fixer les dessins qui parlent, et qui me font rire.

Quelques minutes après les dessins animés, la femme de services, qui ressemblait bizarrement
à la femme de ce matin viens chercher le plateau:
_"Alors, la nine, elle a mangé son p'tit dèj' bien comme il faut?!"

Je compris alors qu'il s'agissait bien de la femme de ce matin.

_"Mais alors, 'faut vite qu'elle avale le cachtons, la p'tite!"

Mon père me força alors à l'avaler, me disant que si je le faisait pas, on ne pourrait pas m'opérer, donc, j'aurait toujours mal aux jambes et à la tête!
Alors je ne chercha pas à comprendre, je pris le verre d'eau et les cachets dans ma bouche puis j'avala une énorme gorgée d'eau, qui me permet d'avaler sans problème les deux "cachtons!"

Après quelques minutes, je me sentit fatiguée, puis finalement, je compris que le cachet était censé m'endormir, puis pas le temps de penser à autre chose, je me couche raide dans mon lit, pas encore tout à fait endormis.

Des infirmières arrivent alors rapidement et prirent mon lite à roulette pour m'apporter jusqu'à une salle sombre où m'attendait d'autres infirmiers.
Je les regardait quelques secondes, puis m'endormit profondément.

Je me réveille... Je regardais autour de moi, au début, tout me semblait flou je ne sentait pas mes jambes, puis au bout de quelques secondes, mon regards s'éclaircit.
Mon visage était d'abord tournée vers la fenêtre où je vus un ciel noir, éclaircit par des grands immeubles allumés.
Puis je tourne lentement ma tête, et je vus cette fois ci des infirmiers et mes parents et ma grand mère.

Je leur fait un sourire, et eux aussi à mon tour, et je voit les infirmiers qui s'approchent de moi et me questionnent:

_"Bonsoir Daisy, écoute, on t'as opéré et on doit maintenant te poser quelques question d'accord?"

Je leurs répond un vague "d'accord" de la tête, j'était tellement fatigué que j'arrivait à peine à parler.

"Bon, d'abord, est-ce que tu as mal au jambes?"
Je leur répond que non, que je ne les sens plus.
ils avaient l'aire plutôt satisfait, ils me répondent alors que c'est normale, 
ce sont les effets du réveil qui font ça, mais normalement, demain, chez toi, tu auras bien moi mal!

Chez moi? Je m'exclama soudainement!
Oui, oui, me répondirent-t-ils.
Demain, tu seras dans ta maison, mais par contre, il faudra beaucoup de reposer, car l'opération va surement te fatiguer pour les deux ou trois prochains jours.
Je fit un "O.K" de la tête et dit bonne nuit à mes parents.

J'était tellement impatiente de découvrir ma véritable maison!

Chapitre 3
A la maison! 


Il était environ 6H30 du matin quand je me réveilla.
Dehors, il faisait encore sombre et personne n'était dans ma chambre, 
Le noir ne me faisait pas peur, par contre, il me donnait l'impression d'être isolée du monde.
Les dernières fois que me suis réveillé, ou du moins les dernières dont je me rappelle, j'était à chaque fois accompagné d'une personne, ou alors, il faisait déjà jour, mais là, 
je me sentait mal à l'aise.
Pour me sentir moins seul, j'attrape la télécommande de la télé et l'allume avec un bouton.
J'était fasciné de savoir qu'avec juste une pression de doigt, j'allumais un engin, comme la télé par exemple. 
C'est ainsi que la télé s'allume très vite et me met sur des passages d'informations (comme le jour précédent où ma mère avait dit à mon père de changer de chaîne.)
J'était devant un homme, différent que celui d'hier, et il parlait de guerre dans le monde.
Au début, sa ne m’intéressait pas mais le passage de guerre était presque fini donc l'image de la télé retourna sur l'homme inconnu, puis après il parla de technologie.

Technologie? Je me demande ce que sa voulait dire, 
puis il commença à parler de nouvelle télé avec un écran très fin et transparent, puis de grand immeuble volant dans la nuit.

Mais avec de nombreux commentaires que je réussi à vaguement comprendre, 
je compris que l'espace était en faite le ciel noir illuminé par l'étoile et une lune.
Et que les immeubles volant étaient des vaisseaux.
Wow, en une émission, j'apprend déjà la signification d'un mot, et je comprit beaucoup 
de chose très vite.
Cette émission dura pas moins d'une demis heure, ce qui plaçait l'aiguille de l'horloge sur 7HOO.

Et à 7HOO et je crois 5 minutes entra un docteur, ma mère et un homme habillé comme la presonne de la télé.
La première réaction de ma mère fut de me prendre la télécommande des mains et de mettre sur la 
"42" où je vu des dessins animés.
Puis elle me dit en haussant un peut le ton de ne pas regarder ces émissions, ce n'était pas pour mon âge.
Moi, j'était contrariée, la chaîne où j'était précédemment m’intéressait vraiment, puis la réaction de ma mère fut bizzard.
Je la regardait longuement. Tout comme elle, puis je lui sortit un:
_"Bonjour quand même!"
Ce qui la fit sourire, elle s'excusa et elle me dit qu'elle avait eut une nuit très mouvementée.

Je me réconcilia très vite avec ma mère, mais sa réaction précédente me donna mal à la tête.
Alors que je ne sentait presque pas mes jambes, sauf de lourdes courbatures qui n'était pas comparable à la douleur d'hier.
Après, je regardait l'homme habillé avec ce "costard" et évidemment, je ne pus m'empêcher de demander qui c'était.
Donc ma mère me répond, elle m'affirme que c'est mon "Major d'homme" personnelle, et qu'il répond à tout mes ordres.

Je regarde ma mère et mon major d'homme. 
Ce dernier me dit en me vouvoyant, je serait à votre disposition quand vous voudrez.
Je me sentait mal, j'ai tout de suite refuser qu'on me vouvoie, j'ai demander à mère si il pouvait 
me dire "Tu".
_"Te tutoyer? Et bien si tu veux ma chérie, donc Roby, vous tutoierez ma fille s'il vous plaît."
L'homme accepte, le sourire à la bouche.

Puis je demande à ma mère, si elle est déjà aller dans l'espace dans des vaisseaux?

Ma mère me regarde très étonné, elle me répond que non, puis où j'avait vus ça, je lui répond normalement dans l'émission précédente lors des informations.

Le docteur, lui, ne disait rien, il me regardait longuement, puis finalement, il me pose cette question:
Tu as retenu ça des informations, et tu n'as pas chercher à mettre des chaînes de dessins animés?

Je lui répond que si, au début, mais après, les technologies m'intéressait!

Le docteur ne répond pas. Puis il va voir ma mère et lui demande de me laisser en observation quelques jours, ce qui est immédiatement réprimandé par cette dernière.
J'irais à la maison, un point c'est tout.
Maintenant, j'ai pris mon petit déjeuner, identique à celui d'hier, et après, on est allé dans une grande voiture.
Le plus étrange, c'est que ce n'est pas ma mère qui conduit, mais un homme habillé comme Roby.
Ma mère est en face de moi. Elle me regarde, moi aussi.
Je suis fasciné par ses magnifiques yeux bleus vert avec de légers éclats rouge, ils se marient si bien avec ses cheveux blonds coiffé en brushing.
Après trois quart d'heures de route, on arrive devant un portail.
Ma mère se retourne et sort une télécommande, plus petite que celle de la télé, et en un clic, ouvre le portail.
Je trouvait ça magique, encore une technologie si fantastique!
Je voyait mal ma maison, de là où j'était assis, et aussi à cause de ma petite taille.
Je ne voyait qu'une grande forme.

Puis ma mère demande à sortir de la voiture et au major d'homme de garer le véhicule dans le garage.
Je sort don avec ma mère, et je découvre là une maison gigantesque!
A vus d'oeuil, avec mes comptes enfantin, je voyait au moins 1 killomètres de surface à elle seul.
Puis, je demande à ma mère quel est la taille de la maison, en me répondant le nombre:
700 m², j'était stupéfaite!
On montait avec ma mère en direction de la porte d'entrée, et elle me dit
qu'on allait quand même visiter l'extérieur de la maison, donc ma mère laisse mon fauteuil roulant, 
sur la pente, pour ouvrir la porte et récupérer d'autres clefs.
Sauf que ma mère oublie bizarrement de poser mon fauteuil à un endroit sur, et me laisse
donc sur la pente, qui commence à me faire reculer à toute vitesse, ne pouvant pas intervenir, 
par cause que je ne connaissait pas l'utilité des boutons sur mon fauteuil, je ne peut que crier au secours, et heureusement, c'est Roby qui parvient à me récupérer!
Ma mère accourt vers moi en rigolant à moitié et en se traitant d'étourdie, puis elle me montre les boutons.
Elle m'expliquent très vite, sachant qu'il y a une dizaine de touches.
En à peine 20 secondes, elle me dit tout très vite.
Elle me regarde, je la regarde et elle rigole en me disant que je n'avait surement rien compris.
"Bha si, pourquoi je n'aurait pas compris?"
Et j'utilise incroyablement bien mon fauteuil qui peut avancer, reculer, droite, gauche, se soulever jusqu'à 20 cm, et se baisser très bas, il peut aussi déclencher une alarme en cas de besoin, et il a 
un téléphone intégrer.
Ma mère dit tout bas, 30 000$, j'espère qu'elle en fera bonne usage.
Je n'ose pas répondre, sachant que je connaissait à peut-près qu'est-ce qu'était les dollars.

J'utilise donc à merveille mon instrument, et je visite l’extérieur de ma masion, accompagné de mon ami Roby.
Je découvre un immense terrain.
Mon Major d'homme me dit alors que le terrain représente 6000 m².
J'était impressionné, non seulement par cet immense cour, mais aussi par la grandeur de la piscine, qui faisait 150 m.
Je continue, je découvre le garage, un entrepôt, et une piste d'avion, pour les voyages de mon père, m'affirme Roby.
Les voyages de mon père?
Oui, ton père est quelqu'un de très important sur Reach, il voyage beaucoup pour rencontré d'autres personnes et parler de beaucoup de choses.

Et ma mère, je lui demande ce que faisait ma mère, elle.
Il me répond que c'est la maire de la Nouvelle Alexandrie, la ville où nous habitons.

J'était impressionnée du travaille qu'exerçaient mes parents, et touts ces postes si importants

Et toutes ces informations donnaient une conclusion logique à la grandeur de cette maison.
Mes parents auraient des postes importants dans la ville et dans la planète, donc, ils auraient été récompensé de cette grande maison, de la voiture, et de toi, Roby!
Roby me répond que c'est à peut près ça.
Mais il devait passer un coup de fil rapide à sa mère, donc il me laissait rentré seul à la maison.
Je pris donc les commandes, et me dirigea vers l'entrée.
Une fois à l'intérieur, j'était à côté d'un autre Siège roulant, identique à celui que j'ai en ce moment.
J'en conclus rapidement qu'il y avait deux siège.
Un pour dehors, et un pour l'intérieur.
Je me positionna donc à côté de l'autre fauteuil, et à la force de mes bras, j'arrive à me mettre dans l'autre fauteuil.
C'était un effort pas trop compliqué, je trouve, mais sa fatigue quand même, à tel point que j'en avait mal au dos.

Ma mère arrive, et me dit d'entrer.
Je rentre, et j'arrive directement dans la salle principale, appelé "Salon".
C'était très grand, il y avait une grande table, Deux grands sièges "canapés" un fauteuil, une petite table qui retient la télé.
La Télévision! Elle faisait au moins Dix fois la taille de celle de l'hôpitale!

Il y avait après les WC, la salle de jeux, avec.... Pleins de jeux, et un bureau avec Deux ordinateurs qui rendait directement dans la buanderie.
La buanderie était équipée du Machine à laver, un sèche linge, et deux frigos avec des "provisions".

Tout à coup, ma mère fut surprise par une petite mélodie. C'était l'alarme du Téléphone.
Elle accoure donc vers le salon où est disposé à côté de la télé le fameux téléphone:
_"Allô? Oui, ah bonjour docteur..."
Ma mère va continuer la conversation dans la cuisine, la seul salle que je n'ai pas visité.
Je rejoint donc ma mère, non pas pour l'écouter, mais pour voir la fameuse cuisine.
Puis, devant la porte, je m'arrête soudainement.
J'entend ma mère discuter avec un infirmier, ils parlaient de moi.
J'écoute donc la conversation qui résume ceci.
_"Oui, la radio de la tête de ma fille, oui, et alors...
Comment ça, un "bout" déplacé et grossit?
Oui, et alors?... Vous êtes sur. C'est bien de la précocité.
Mon dieux, je n'aurait jamais cru. Et c'est embêtant?
Non, je ne la ramènerait pas chez vous, déjà que je suis très absente en ce moment, il va falloir 
que je cours à l'hôpital tout les jours? Non, ma fille se débrouilleras. Oui monsieur, j'en retirerait les conséquence. Au revoir."

Ma mère éteint instantanément le téléphone et sort de la cuisine.
Moi, je fait semblant de n'avoir rien entendu, je me demande qu'est-ce que la "précocité"?
Bon, je chercherait demain, je commence à fatiguer.
Il faisait déjà noir dehors, et Roby était rentré chez lui.
Je demande donc à ma mère de m'emmener jusqu'à ma chambre.

Ceci fait, Elle me couche dans mon lit.
J'avait déjà les yeux fermés, je ne put même pas voir à quoi ressemblait ma chambre en entier.
Mais quoi qu'il arrive, je m'endort, pour découvrir le lendemain une nouvelle journée.
Peut-être aussi mouvementée qu'aujourd'hui...ou pas.

Chapitre 4:
La ville et la richesse de mes parents.


Je me réveille, je vu une pièce sombre, des formes rectangulaire, avec des objets dedans, des espèces de....femmes miniature.....sans intérêts...
une grande pièce, la fenêtre fermé, les objets immobiles, moi, couché sur ce lit...
Je devais recouvrir mes esprits, m'asseoir, et marcher jusque dans la cuisine, j'avait oublié les douleurs, je me croyait encore....."normale".
Je tente de m'asseoir, mais, à ce moment, cette douleur, dans le dos, ce bruit, cette douleur atroce revient d'outre tombe, mon cerveau, en une demi seconde, parvient 
à me refaire penser que j'était invalide, mon seul moyens était de crier, crier fort, c'est ce que je fait.... 30 secondes, les plus longues de ma vie....ma vie de 4 jours....
Mes yeux, aveuglés par les larmes, ne vut qu'une silhouette flou, je pensait à l'arrivée "héroïque" de ma mère, mais après refléxion, je ne vut que Roby.
Il me recouche aussitôt, la douleur, bien que toujours aussi horrible, se calme un petit peut.
Il s'assis sur le côté de mon lit, il me regardait, passe son doigt sur mes yeux, m'enlève mes larmes, et je vut, aussi clair que possible son visage qui revient.

Après ce mauvais moment, il me déplace avec précaution sur ma chaise roulante.
Et m'amène jusqu'à la cuisine.
Je voit devant moi, un festin, rien de comparable avec celui de l'hospital.
Un bol avec du liquide blanc, des biscuits fourrés de chocolat, et un ver de jus d'orange, tout ça accompagné d'une petite assiette composé de trois tartines, une avec une substance collante, de couleur doré, une avec de la gelé rouge, et une dernière composé de beurre.
On m'explique ce que c'est.
Du miel, du lait, et de la confiture, tout ça avait un gout qui se mariait à merveille, et que j'adorait!
Je mange tout, et après, je vais jusqu'au salon, je me met vers le canapé, prend la télécommande, et allume la télé.
Je tombe sur des dessins animés.
Encore des choses idiotes, sans intérêts, qui ne m'intéressait pas.
Mais aussi idiot étaient-ils, je les laisses, et je m'approche de Roby que débarrassait la table.

_"Dis moi Roby, où est ma mère?
_Au travaille, comme d'habitude, comme ton père...."

Comme d'habitude, comme ton père.... Et cela comme tous les jours.
Comme tous les jours, alors, en conclusion, je devais rester chez moi tout le temps, avec comme seul compagnie, Roby.
J'était en quelque sorte condamné à vivre dans une richesse qui ne m'apporte ni bonheur, ni amour....

Enfin bref, c'était comme sa que je devais vivre, et je devais m'en contenter...

Roby, après avoir tout fait, débarrasser, la vaisselle, la table....
Il me dit qu'on va sortir en ville, pour m'acheter de nouveaux habits.
Je ne savait que peut de choses sur ma ville, à part que la maire, c'était ma mère, et que la ville s'appelait "New Alexandria".
On sort donc dehors, j'était tout de suite frappé par une horrible chaleur, et un soleil qui m'éblouissait les yeux.
Mais bon, on monte direct dans la limousine, et on part, par une grande route, vers la ville.
On passait par la route principale, on croisait des passants, qui marchait sur le trottoir, la ville était bourré de grands immeubles et de magasins.
Normalement, c'était là que Roby devait m'amener, mais non, il ne s'arrête pas, et il continue d'aller plus loin.

On descendait vers une autre partie de la ville, là où il n'y a pas de "riches" comme mes parents.
Et plus on descendait, plus le soleil disparaissait, par d'épais nuage gris foncé, et on dut fermé les fenêtres, car une puanteur horrible commençait à infester.
Puis après la descente, on arrive enfin vers la route qui traverse la ville.
Je vu, par la fenêtre, des hommes et des femmes pleurer, des enfants seuls, des véhicules cassés, brulés, des immeubles noirs, des maisons détruites, 
des usines abandonnés, je voyait aussi la police faire d'innombrable va et viens.
Cette misère me faisait tellement peur que je ne put m'empêcher de tourner la tête.

Puis enfin, au bout de quasiment une heure, le ciel s'éclaircit.
Nous arrivons vers une ville qui n'était composé que d'immeubles et de boutiques luxueuse, des riches passaient, juste à côté des cartiers pauvres.
Je me répétait que ce n'était pas normal.
Mais bon, comme d'habitude, on n'y peut rien, c'est ça le problème, on n'y peut rien.
Au bout de quelques minutes, on s'arrête enfin.
Roby me prend et me met sur mon fauteuil roulant.
On était arrêté devant une grande boutique d'habits de luxe.
Roby me dit que c'est la meilleur, et aussi la plus cher de toutes les boutiques de la ville.
Après tout ce que j'avait vut, je ne voulais presque pas y aller dans cette boutique, mais j'était obligé, de toutes façon, Roby était obligé de m'acheter des vêtements, alors 
bon, j'y vais tout de même.
La salle de la boutique, était quasiment aussi grande que le premier étage de ma maison.
Et elle n'était remplis que de vêtements de luxe, les uns aussi chers que les autres.
Alors après un grand moment de refléxion, je ne me prend que des vêtements banales, genre jeans, petite robe, veste, sweat, c'est tout.
Je ne me prive en aucun cas de quoi que ce soit, mais le simple me convenait parfaitement, et je ne voyait pas le besoin d'avoir une echarpe en plus
ou des chaussures à talons, les petites chaussures basique me convenait parfaitement.
Mais ce qui m'étonnais le plus, c'était que même pour les vêtements les plus simple, je voyait Roby sortir un tas de billet de "1000" et le déposer sur le comptoir. 
J'était bouche bée!
Enfin bref.
Maintenant, c'était fait.
Je retourne donc à la maison.
Pendant le chemin du retour, je demande à Roby d'où il sortait tout cet argents.
"Des tes parents" me dit-il.
"Et ce n'est qu'une petite somme pour eux, tu sais, tes parents sont très riches, et tu disposes d'une des plus grandes maisons de la ville!"

Tu dois être heureuses n'est-ce pas?
........
Heureuses, ce serait la richesse qui devait me rendre heureuse?
Le seul fois où j'ai été heureuses, jusqu'à maintenant, c'est la première fois que j'ai vus ma mère, et la seul fois où elle ma partagé son amour....

Chapitre 5
Une nouvelle découverte, L'école

.

1 mois.... 1 mois que finalement, je comprend ce qu'attend ma vie jusqu'à ma majoritée, où je pourrait, d'après ce que ma dit roby, je pourrait enfin être indépendante, 
la vie qui m'attend, c'est une vie seul, avec comme seul ami et compagnie, Roby. Je vais devoir me débrouiller seul apparemment, je doute que Roby reste encore longtemps, ses parents son pauvre, et sa mère est atteinte d'une grave maladie, et pour lui, devoir supporter ma responsabilité tous les jours, la fille des personnes les plus importantes de la ville, et très influente sur le reste de la planète, c'est une lourde tâche qui pour lui, peut faire basculer la vie si jamais il m'arrivait quelque chose.
Evidemment, il ne me l'a jamais dit, mais je le sais, avec le peut de chose qu'il m'a raconté, je sais que je suis sa dernière chance de pouvoir aider ses parents.
Mais je suis aussi la personne qui peut le perdre.
Tout ce que j'ai appris en seulement un mois m'a mis un sacré poids sur le dos, et en plus, sans mon major d'homme, je ne peut pas me déplacer comme je veux, je suis tellement dépendante.... D'ailleurs, cette dépendance me met un pincement au coeur, ne pas pouvoir faire quelque chose dans une parfaite intimitée, comme tout simplement me laver, c'est extrêmement pesant dans la vie de tous les jours.

Mais bon, après les points négatifs, j'ai pus apprendre pleins de choses, à la télé par exemple, ou tout simplement en vocabulaire.
Depuis que Roby ma montré comment utiliser le dictionnaire, je ne m'en sépare jamais, enfin pas comme si je ne me séparait jamais d'une peluche par exemple, 
mais je veut dire que je met mon dico' -comme je l'appelle- dans une des poches de rangements de mon fauteuil. Et du coup, hop! A chaque fois qu'à la télé 
il y a un mot que je ne connais pas, je sort mon dictionnaire, et je lis la définition du mot en question, comme euh... :
J'entend à la télé : cette prairie est abondante de fleurs... Abondante, je sort mon dico et je lis donc sa définition, ce qui enrichie ma culture mon vocabulaire....

Pour moi, c'est normale, je trouve que c'est normale de faire ça, de vouloir savoir pourquoi, comment etc...
D'ailleurs, c'est toujours à l'étonnement de Roby, qui lui, ne dit pas grand chose, il me regarde faire, puis quelque fois, il m'aide.
Comme pour la lecture, quand je suis allé chez moi, je savait déjà lire... vaguement, mais quand il y avait des phrases que je ne comprenait, ou 
que je ne prononçait pas comme il faut, et ben je me faisait aider de Roby, et petit à petit, je lis de mieux en mieux, jusqu'à un point que je trouve satisfaisant.
Puis après ça, le reste de ma journée, soit je vais dehors me reposer, ou juste rouler autour de la maison, pour prendre l'air...
Soit je me retrouve sur mon canal 7, la chaîne où passe les découvertes récentes archéolosi... euh, archéo logique ! Quel mot difficile !
Ou les avancés technologiques.

La première fois que j'ai mis ça, Roby avait rigolé et m'a repris la télécommande, que je surnomme, je ne sais pas pourquoi, question de "fun" surement, la "Star Commande !" (c'est bête mais bon, c'est sortit tout seul ! )
Donc, il ma enlevé la 7, et ma mis les dessins animés, pfff, quel idiotie ce truck, je ne vois pas ce qu'il y a d'intéressent dans vouloir absolument récupérer le jouet
qu'un voisin a perdu, sachant que l'héros du dessins animés doit passer par un pont qu'un nain "grincheux" garde, un tunnelle où un loup rôde, et passer par la mare aux crocodiles, alors que le jouet est sur une table du marché, me semble t-il, dans la ville, donc tout peut être contourné par la route.... Enfin, c'est mon point de vue, et apparemment, pas celui des filles de mon âge.

Quand Roby a sortit ça, les filles de mon âge, j'ai été surprise, "pourquoi? Serais-je différent?", à part mon handicape, je ne vois pas ce qui me différencierait de filles semblables...

Enfin bref, comme j'aime dire quand les discussion commence à être trop longue ou complexe, et quand je suis en désaccord avec mon ami, car sa me donne mal à la tête, qui est encore trop "fragile" je pense, tout comme mes jambes, qui me font si malle chaque jour...

Aujourd'hui, ou plutôt, cette après midi, alors que j'essayait, difficilement, à lire un petit livre d'une vingtaine de pages, j'entend Roby au téléphone en train de discuter avec ma mère. Ils discutent environ un quart d'heure (15 minutes, m'a expliqué mon ami), puis il monte dans ma chambre, et s’assoie à côté de moi, il me regarde, et puis il sort enfin:

- "Ecoute Daisy, j'ai une grande nouvelle pour toi, après demain, tu vas à l'école !"


*"*TÛTÛTÛTÛTÛTÛ-- clic ! *"*
Ah, quel réveil brusque ! 
c'est vrais, j'avait oublié, ou plutôt, peut-être voulais-je oublié d'aller à l'école... non, j'aime les expériences nouvelles, et puis Roby m'a dit 
qu'on apprenait pleins de choses, là bas alors en fait c'est bien.
J'essaye, comme ça, de me rassurer, mais pourtant, sans que je le veuille, j'ai mal au ventre, et d'ailleurs, aux jambes et à la tête un peut, mais encore, sa, j'ai l'habitude, malheureusement.
J'essaye d'ouvrir les yeux, doucement, mais c'est dur, je regarde l'heure... 7h45 du matin, waw, je ne m'était encore jamais réveillé à cette heure,
sauf à l’hôpital, si je me souviens bien.
Quoi qu'il en soit, dehors, il fait encore sombre, et j'attend... ah, c'est bon, Roby viens d'arriver, il s'assois à côté de moi, me passe sa main dans les cheveux
puis me prend dans ses bras, et me met dans mon fauteuil roulant avec précaution.

On descend au rez-de-chaussez, pour prendre le p'tit dèj.
Comme d'habitude, tartines, chocolat chaud et céréales.
Mmmh, je prend ce bon petit déjeuner, qui me redonne des forces, au passages, et une fois terminé, je vais me brosser les dents, puis Robin m'habille.
Ceci fait, je prépare mon cartable, aidé de mon ami, puis hop ! Tous dans la limousine et c'est partit, à l'école.
_"Dis moi Roby, pourquoi maman et papa ne m'accompagnent pas pour mon premier jour?
_Euh...tu sais, ta mère m'a dit, en se levant juste avant toi, qu'elle avait du travaille à la mairie, quand à ton père, il a dormi chez un des clients, car il était partit loin."
Roby avait l'air gêné quand il m'a dit ça, il m'a regardé avec un léger sourire, puis tout à coup, il reçoit un appelle, il regarde d'abord le numéro, puis ceci fait, il décroche rapidement:

_"Allô, oui madame? ... Oui? ... Maintenant? Mais votre fille... bien bien, ce sera fait. À tout de suite madame. "
Euh... Daisy, écoute, on arrive à l'école, et je vais te faire descendre, et je ne vais pas pouvoir rester car ta maman à besoin de moi pour... enfin, voilà, désolé, écoute, c'est simple, je vais t'amener devant la cour de récréation, là ou les enfants de ton âge s'amusent, et je vais rentrer, je... enfin, c'est... ah ! on arrive, allez, on y va, tu verras, à la sonnerie, tout les enfants vont se mettre en rand, et une dame ou un monsieur va t'appeler donc tu ira vers cette personne et après tout ira tout seul, tu verras !"
Bon, on descend, Roby m'amène devant la cour, je vois pleins d'enfants courir, crier, c'est à ce moment là que je m'arrête, j'ai un énorme boule dans le ventre... l'angoisse... allez, Daisy, reprend toi.
Roby? Je regarde derrière moi, je voit mon ami qui me sourit, puis, un autre coup de fil.
"Oui madame... Oui oui, je me dépêche madame, veuillez m'excuser!"
Allez Daisy, bonne chance, ce soir, je viendrait te récupérer.
Et je le voit me tourner le dos et courir jusqu'à la voiture.
Je me sens seul, abandonné d'un seul coup.
Bon, je... quoi? Une larme? Non, enfin, l'école... c'est.. c'est bien, je vais apprendre pleins de choses.
Punaise, alors non seulement ma mère ne m'accompagne pas à mon premier jour d'école mais en plus, elle demande à Roby de me laisser toute seul
mais enfin, elle le fait exprès OU QUOI?
D'un seul coup, une colère noir m'envahie, sa... sa ne ma ressemble pas.
Il faut que je me calme. Je souffle doucement en fermant les yeux.
Je prend mon courage à deux mains, et je me lance dans la cour de récréation.
Dès que j'ai franchie la porte, et que je rentre dans la cour, d'un seul coup, je vois beaucoup de regard se tourner vers moi... gêné, je tourne le regard et continue 
ma route pour visiter un peut cet endroit.
Mais même en détournant le regard, j'entend des paroles:
C'est qui cette nouvelle
Pff, regarde cette handicapée !

Je préfère partir vers un coin isolé de la cour, où il n'y a personne pour passer mon chagrin.
Je reste ici deux minutes, les yeux fermés pour décompresser,
Puis enfin, je tourne la tête, et je vois une petite fille de mon âge apparemment, les yeux et les cheveux noirs.
Elle me regarde profondément, un livre à la main, et elle, bizarrement, elle ne dit rien, elle ne réagi pas comme les autre enfants, elle.
Elle m'observe, comme ça, pendant deux minutes, et je fait de même.
Elle est petite, elle tiens un livre d'une cinquantaine de page à la main, j'essaie de lire le titre en me baissant un peut, et je lit vaguement:
"L'évolution de la technologie du XXVe au XXVIe siècle...
Waw! Une fille qui partage la même passion que moi pour la technologie!
Après quelques secondes, elle sort enfin:
_"Qui es-tu?
Surprise, je répond, 
_Je suis une nouvelle qui viens d'arriver, enfin, en fait, je sais pas si je suis nouvelle, il y a un mois, j'était encore dans le commas, et depuis, j'ai tout oubliée, toute 
ma vie précédente, sauf mon instruction, les mots que j'avait appris etc... Et toi, qui es-tu tiens?!

_Moi, je suis aussi nouvelle, avant, j'habitait une autre planète, Arcadia, mais on a été obligé de déménager. 
Dis moi, comment tu t'appelle?

_Daisy, je répond machinalement, Daisy Mallet.
Et toi?
_Moi? C'est Ellen... enfin, Ellen Anders.

_O.K, content de te connaître Ellen, dis, tu t'intéresse à la technologie? Je demande.
_Ouais, j'adore ça, et plus tard, je veux faire archéologue!
_Tiens, comme moi, je répond, j'ai découvert tout ça sur channelle 7, je m'intéresse à la technologie, et à l'archéogie.. euh.. archéologie plutôt!
_Ouais!! Exactement comme moi! 
_Au fait, ou c'est que tu as eut ce livre? Je demande.
_C'est ma mère qui me l'a offert, avec pleins d'autres, pour mon anniversaire de l'année dernière. Et aussi, j'en ai eut quand on est allé en sortit dans un musée à Arcadia, j'adore ma mère, on fait tant de choses toute les deux !
Et toi, tu as déjà fait des musée avec ta mère ou ton père?
_Ben... (j'était vraiment gêné quand elle m'a posé cette question.) C'est à dire que ma mère... elle--.... "

*"*Driiiiiiiiiiiiiiiiiiinng*"*
Tout à coup, cette sonnerie m'a tellement surpris que j'ai fait un petit sursaut !

Vite! Il faut que j'aille en rand, à tout à l'heure, pour la prochaine récréation!
Je me rend donc quasiment au milieu de la cour, pour qu'un des maîtres m'appelle.
J'attend environ 30 secondes, et enfin, j'entend une voie de femme S'élever!
_"DAISY MALLET PAR ICI S'IL TE PLAÎT!"
Je regarde à gauche, là ou la voie m'a appelé, et je voie, surprise mon amie Ellen, content, je vais le plus rapidement possible à côté d'elle.
Et ceci fait, j'entend une voie qui vient de devant:
_"Eh! Regardez ça, l'handicapée s'est foutu avec la grosse tête!!"
Et d'un seul coup, un éclat de rire générale, j'entend la maîtresse qui demande qui a fait ça, mais évidemment, personne ne répond.
J'était vraiment vexé, comme mon amie qui a baissé la tête...
En classe, je me met à droit de ma copine, Ellen, dans la deuxième rangée, sur la première table.
La maîtresse me présente, puis elle me donne son nom: "Mme Bercher" .
Je regarde autour de moi, pendant que la maîtrsse commençait sa leçon sur la lecture, je vois des enfants nous regardant, et en train de rigoler.
Je demande à Ellen, à voix basse si c'était tout les jours comme ça, et elle hoche la tête en signe d'acquisement.
Et comme ça pendant tout le cours.
Mais j'essayait tant bien que mal à écouter, et à répondre aux questions.
Pendant toute la journée moi et Ellen, on a été victime des ces rires et de ces phrases vexantes, mais à chaque récré, on s'isolait dans un coin et on parlait, rigolait de tout ce qui nous intéressait!
Au finale, ma journée n'a pas été mauvaise, car cette rencontre m'a provoqué une joie magnifique!
Je trouvais que les questions n'était pas difficiles.
Il fallait mettre sur un papier un petit texte qui résumerait une semaine de vie chez soit, je voyait beaucoup d'enfant "galérant" comme j'aime dire.
Mais moi et mon amie, on a écrit un vrais roman, sans aucune difficulté, d'ailleurs, Mme Bercher a été très surprise en regardant ma fiche, mais elle n'a rien dit, elle m'a fait un petit sourire étonné, et elle est partit ranger ses feuilles sur son bureau.

La journée s'est passé ainsi.
Et à la dernière sonnerie, je suis sortit tout en discutant avec Ellen, et j'ai retrouvé Roby, mon autre ami, j'ai dit au revoir à Ellen, enfin plutôt, à demain, car demain, se sera la même journée!
A l'école!
Et ben voilà, cette fille, c'est vraiment une chance de l'avoir rencontré, car j'avait vraiment mal commencé la journée.

Bon, allez, ce soir, du repos pour recommencer une journée aussi mouvementé... enfin, je pense, il peut toujours ce passer n'importe quoi, n'importe quand...! 

Chapitre 6
La vie continue

Ma vie se répétait, toujours...Je ne voyais jamais mes parents, mon seul ami, Roby, je le considérais comme mon "second père". Cette vie de petite fille bourge, avec des sorties vêtements tous les deux mois, des vêtement plus chères les uns autant que les autres. Depuis l'aube de ma "seconde vie", j'ai toujours été passionnée par l'archéologie et la technologie, la beauté de la mécanique.
Et j'ai toujours été dégouté par la guerre, par ce chaos qui n'en fini plus. Et cette technologie.... si belle, si interessante, complexe, utilisé pour la guerre, le visage de la beauté mecanique et technique souillé par cette satanée guerre.
Mais je me suis rattachée à l'archéologie, la découverte de nos monde. Ce pourquoi je résiste à ma famille.... mais surtout, à ma mère.
Je me souviens, à mes 13 ans, ma mère après mon anniversaire, m'avait dit,
"À ta majorité, tu te présenteras au élections de la ville, pour être maire. Je te donnerais tes discours. Il faut que le nom de ma famille reste dans ce pays."
-Non, je veux être Archéologue, et puis c'est tout! Je ne veux pas faire ce sale boulot d'maire !
-Tu n'auras pas ton mot à dire ma p'tite! Même ton père est d'accord, alors tu feras ce que je te dit!
-Non Jamais! Je fuguerait puisque c'est comme ça!

Et la, elle.... elle m'a frappé. De sa main, la première fois. Je l'ai sentis cette claque, et là, j'ai aussi senti le visage de a mère se briser dans mon coeur. Elle voulait me faire maire? Elle me fera partir, c'est tout.
Après cette claque , elle ma longuement regardé, j'avait l'œil qui coulait, et la joue rouge, mais je ne pleurait pas, je ne voulais pas lui donné ce plaisir. Je me suis figé et je l'ai dévisagé d'un regard noir. Elle s'est levé, a sorti un regard arrogant, puis elle m'a dit,
"Puisque ton amie la bonne ne peut pas se payer les médoc' pour se soigner, je l'ai viré, tu fera le ménage à sa place."
-Mais.... mes jambes?
-Débrouille toi.

Et elle m'a laissé sur ce ton sec.
Je me suis figé devant le balai. Puis j'ai pensé à Ellen Anders, ma seule amie, c'est grâce à elle que je continu d'aimer l'école; à Roby qui pourrait être renvoyé aussi. Il manque terriblement d'argent. Puis à mon père, mon seul parent capable de m'écouter, depuis la mort d'Océane, ma grand mère.
Mes parents ont divorcés sous la demande de ma mère. Elle pensait que le voir seulement Trois fois par an, pour le nouvel an, mon anniversaire et Noël, elle disait que ce n'était pas bon pour moi d'avoir un père si peu présent. Non seulement sa n'a pas changé, mais en plus, sa a ouvert les yeux de mon père, et sa nous a prouvé que cette femme, celle que j'appelle "Maman" n'a qu'une vision des choses: Le travaille et sa petite personne.
Les trois semaines où je le vois dans l'année, elles sont pour chaque fois des semaines magnifique. Je dort dans sa "maison volante" un énorme avion de 600m2 . Avec des chambres, des douches, un énorme salon, une énorme salle à manger équipée cuisine. Et ma salle préféré, le cockpit, éclairé de mille feux durant la nuit! Ses trois semaines par an, sont les meilleurs!
Mais malheureusement, elles ne durent pas, et à un moment, je dois revenir à ma vie normale....
Le jour que j'espérais approchait à grand pas. Mes 15 ans. Juste après mon bac. Je pourrais enfin demanderà ma mère l'integration au sein de l'université d'archéologie avancée de Manassas.
Mais je restait sceptique à sa réponse.
Aujourd'hui, c'était les résultats du bac. Je me rend au Lycée avec la quasi certitude d'avoir une bonne note à mon éxamen. J'approche de l'écran qui indique les places. Je croise des étudiants en pleine euphorie, d'autres effondré de sanglots. Puis enfin, j'accède à l'écran qui est situé au milieu de la cour intérieur de l'établissement. 
Je regarde longuement, puis enfin j'aperçois mon nom !
-Daisy Mallet obtient la note de 20/20. Examen à récupérer au bureau du proviseur.

J'était si heureuse! Je relis au moins dix fois cette même phrases sans m'occuper des autres. J'était si heureuse!
Puis au bout d'un moment, je sens quelqu'un me sauter au cou. C'était Ellen Anders avec ses copies. Elle avait l'air très heureuse.

-20/20! Elle s'exclame, J'ai eu 20/20, je suis tellement contente!
Et toi?

-Pareille, je lui dit en laissant s'échapper un clin d'œil.
-C'est géniale, la proviseur m'a dit qu'on était les deux seules élèves à obtenir de telles notes!
-Tu as vus la proviseur? -La proviseur ne donne jamais son nom aux élèves...- je demande
-Ouais, puis elle m'a donné ta copie avec, elle m'a dit que vu qu'on était amies, elle avait confiance.

Confiance? Je pense, Elle aurait confiance, Mme la proviseur qui est d'habitude si froide et sévère, même avec l'équipe administrative du Lycée...

-Ah. Ok merci beaucoup ! On va fêter ça? je demande, J'ai un peut d'argent.
-Ok, m'ai je t'invite !
-Non, c'est pas la peine ne t'inquiète pas !
-Si si j'insiste, allez, viens!

Au bar, qui est à 50 mètres tout au plus du Lycée, on commence à discuter sur ce que veut faire Ellen plus tard...
"Professeur de conférence en université"

-J'ai vu ça sur internet. On doit obtenir un doctorat, ma mère m'a dit qu'elle me paierais l'école. Puis j'irais sûrement à Arcadia, ma planète me manque.
-Sa veut dire qu'on ne se verra plus. Je lance.
-Peut-être...

On reste au moins cinq minutes sans rien dire. Devant nos verres...
Puis enfin, elle me demande...

-Et toi, tu compte faire quoi maintenant?
-Je sais pas, j'apprécierai Archéologie, je sais qu'il y a une université à Manassas...
-Manassas? C'est super! C'est exactement l'endroit où je vais aller !
-Ouais, mais ma mère ne me laissera pas y aller, elle ma dit qu'elle comptait me refaire maire de New Alexandria quand elle ne pourra plus se présenter.
-Ah bon? Mais, tu lui as demandé au moins?
-Non, mais je connais la réponse. Je pense que je ne vais même pas demander.... De toutes façon, au point où j'en suis.
-Mais si ! Demande lui, on sait jamais, elle à peut-être changée d'avis.
-Non.... Elle ne changeras pas.
-Et puis, tu sais... Qui ne tente rien, n'a rien.
-Ouais, tu as raison, on ne sait jamais. Je verrais. Merci en tous cas... Pour le verre.
-Oh, ce n'est rien. Je rentre chez moi à pied, je t'accompagne?
-Non, c'est bon, Roby ne vas pas tarder.

Et on se laisse sur ces mots. On part chacun de nos côtés.
Roby est venus me chercher exactement au moment où j'allais partir. 

En rentrant à la maison, je décroche un rapide bonjour à ma mère, entre deux fauteuils roulant -Celui d'extérieur, et celui d'intérieur- Et je monte directement dans ma chambre consulter mon ordinateur, tout en repensant aux mots d'Ellen.
Puis enfin. Je me souviens d'un cours de droit, que j'avait passer au lycée. Ils l'ont rajoutés l'année dernière. Il n'était pas encore présent dans notre lycée avant.
Le professeur nous avait parlé des droits en politique des mineurs. 
Et notamment lors d'un couple de parents divorcés, il est possible de demander le changement de garde de l'enfant entre le père et la mère (cette lois en disponible sur Reach depuis deux ans. Quand l'info était passé à la télé, ma mère m'avait regardé et avait zapé très rapidement). Il faut avoir des témoignages, une raison valable, et, si possible - le prof nous l'avait dit en rigolant - Pourquoi pas des contacts en votre faveure, vous savez, aujourd'hui, tout est possible avec les hommes d'affaires... 
Puis je pense à mon père. Ce ne serait pas trop morale, mais dans ces circonstances, vu qu'il s'agit de mon avenir, je pense que je serait capable de tout.
Bon, qui ne tente rien.....
Je prend mon courage à deux mains et puis je descend voir ma mère.

J'ai eut 20/20 au bac, je lui dit en lui montrant la copie !
Oh, c'est très très bien, bravo, me dit elle dans un éclaire de joie.
Alors je veux aller à l'université de Manassas dans le secteur Archéologie avancée.
D'un seul coup, son sourire se transforme en visage sans émotions.
Nous avons déjà parlés. Me dit elle. Tu iras à l'école de Sciences politiques à New Alexandria, à Trois kilomètres d'ici, puis ensuite, tu te présenteras aux élections, comme nous l'avions déjà dit.
Je la dévisage longuement. Je lui balance mon Bac dessus, puis je dit,
Puisque c'est comme ça.... Et je ne rajoute rien. Je remonte dans ma chambre.

Le lendemain, je doit voir mon père pour les vacances. Enfin une bonne nouvelle. Je prend mes affaires, puis je pénètre dans l'avion. 
Comme d'habitude, nous parlons beaucoup. Puis enfin, je lui explique en détail mes problème.
Il me dit que c'est faisable. Et qu'il a un juge qui s'occupe de ça. C'est un ami à lui et il a une dette envers mon père depuis le moment où mon père l'a sauvé de la prison (quand il était avocat, je n'était pas encore né.) Alors il se débrouillerai.
Mon père lance le projet au tribunal, il prend son avocat, et deux moi plus tard, sans jamais avoir croisé ma mère avant, je la croise dans la pièce où va se dérouler la décision des juges.
Mon père m'a dit qu'il était parvenu à discuter avec son ancien ami. La décision des hauts juges est très longues. Pendants qu'ils délibèrent, je regarde ma mère de temps en temps, et quand je croise son regard, elle baisse la tête, comme si elle était consciente de l'erreur qu'elle a fait en voulant m'imposer mon avenir.
Enfin, le juge se relève.
Nous avons délibérés. Il hésite un moment. La demande de Daisy est Mallet est... Accepté. Ensemble, nous avons procédés par un court votes après avoir longuement discuter.
Le père de Daisy Mallet aura la garde de l'enfant jusqu'à sa majorité. 
Merci d'évacuer les lieux désormais. 
L'avocat de ma mère à l'air affligé. Tout comme cette dernière d'ailleurs.
Moi, je suis heureuse dans le sens où je vais enfin pouvoir acceder à l'université, rejoindre Ellen, et pouvoir réaliser mon rêve.

Et tous ça le jour des mes 15 ans !

Posté le : 02/05/2012


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